Actualités

Bandeau général
20/03/2025

Impôt sur le revenu et avantages liés aux enfants majeurs – 2025

  • Abattement pour rattachement d'enfants mariés, pacsés ou chargés de famille

Les parents qui rattachent à leur foyer fiscal un enfant marié ou pacsé, faisant l'objet d'une imposition commune avec son conjoint ou son partenaire, ou un enfant chargé de famille, bénéficient d'un abattement sur leur revenu imposable.

Fixé à 6 674 € par personne prise en charge pour l'imposition des revenus 2023, le montant de cet abattement est porté à 6 794 € pour l'imposition des revenus 2024.

  • Limite de déduction de la pension alimentaire versée à un enfant majeur

La déduction des pensions alimentaires versées à un enfant majeur est limitée à 6 794 € (6 674 € pour l'imposition des revenus de l'année 2023).

  • Limite de déduction de la pension alimentaire versée à un enfant majeur chargé de famille

Lorsque le contribuable participe seul à l'entretien d'un enfant majeur célibataire, veuf ou divorcé qui est lui-même chargé de famille, la limite de déduction est fixée à 13 588 €, quel que soit le nombre de petits-enfants.

  • Limite de déduction de la pension alimentaire versée à un enfant majeur, marié ou pacsé

Lorsqu'il s'agit d'enfants mariés ou pacsés faisant l'objet d'une imposition commune, la limite de déduction est fixée à 6 794 € pour chacune des familles des jeunes conjoints ou partenaires. Cependant, la limite est doublée (soit 13 588 € pour l'imposition des revenus 2024) au profit des parents qui justifient participer seuls à l'entretien du jeune couple.


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20/03/2025

Impôt sur le revenu et décote – 2025

La décote permet d'alléger la charge de l'impôt pour les personnes faiblement soumises à l'impôt sur le revenu. En plus de l'aménagement du barème, la loi prévoit un renforcement du mécanisme de la décote favorable au contribuable.

L'impôt résultant du barème progressif, après application le cas échéant, du plafonnement des effets du quotient familial, est diminué :

  • de la différence entre 889 € et 45,25 % de son montant pour les personnes célibataires, divorcées, séparées ou veuves ;
  • de la différence entre 1 470 € et 45,25 % de son montant pour les personnes soumises à une imposition commune.


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20/03/2025

Taxe minière sur l'or en Guyane - 2024

Taxe minière sur l'or en Guyane - 2024 
 

Les tarifs de la taxe minière sur l'or en Guyane applicables en 2024 sont fixés comme suit :

Catégories d'entreprises

Par kilogramme extrait (en euros)

Petites et moyennes entreprises

 577,19

Autres entreprises

 1 154,38


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19/03/2025

Taxe incitative relative à l'utilisation d'énergie renouvelable dans les transports : ça se précise !

Les distributeurs de carburants sont redevables d'une taxe incitative à l'utilisation d'énergie renouvelable dans les transports. Pour minorer le montant de cette taxe, les redevables doivent justifier avoir atteint un certain taux d'incorporation de biocarburants dans leurs produits, selon des modalités qui viennent d'être précisées.

Taxe incitative relative à l'utilisation d'énergie renouvelable dans les transports : nouvelles précisions

Les distributeurs de carburants en France sont redevables de la taxe incitative à l'utilisation d'énergie renouvelable dans les transports (TIRUERT). Cette taxe devient nulle dès lors que ces distributeurs atteignent un certain taux d'incorporation de biocarburants dans leurs produits.

Pour atteindre les objectifs d'incorporation, les distributeurs peuvent :

  • incorporer physiquement des biocarburants dans leurs produits ;
  • acquérir des certificats attestant de l'utilisation d'énergies renouvelables dans les transports, notamment l'électricité et l'hydrogène, ces certificats étant obtenus auprès d'opérateurs d'infrastructures de recharges publiques pour véhicules électriques ou des producteurs d'hydrogène renouvelable.

Pour justifier que la proportion d'énergie renouvelable requise pour pouvoir bénéficier de l'avantage fiscal est atteinte, certains justificatifs doivent être transmis dont la liste, disponible ici, vient tout juste d'être publiée.

Notez qu'à compter du 1er avril 2025, les aménageurs d'infrastructures de recharge en courant continu ou leur agrégateur doivent déclarer les quantités d'électricité consommées par voie dématérialisée.

Un relevé des quantités d'électricité renouvelable prises en compte pour atteindre l'objectif d'incorporation doit être transmis, par voie dématérialisée, au directeur de l'énergie au plus tard le 15 avril pour l'électricité utilisée au premier trimestre civil et au plus tard respectivement le 15 juillet, le 15 octobre et le 15 janvier pour celle utilisée au 2ème, au 3ème et au 4ème trimestre civil.

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19/03/2025

Santé au travail : on en sait plus sur l'analyse des substances dangereuses !

L'inspection du travail peut demander à l'entreprise de faire analyser certains agents chimiques et substances susceptibles de présenter un danger pour la santé des travailleurs. Cette analyse doit alors se faire auprès de certains organismes et aux termes d'une méthode qui vient d'être précisée…

Analyse des substances dangereuses : du nouveau à partir du 1er avril 2025

Dans le cadre de ses missions, l'inspecteur du travail peut demander à l'employeur de faire procéder à des analyses de tout agent chimique ou biologique susceptible d'être dangereux pour la santé des travailleurs.

Cette analyse obligatoire, dont l'entreprise doit supporter le coût, doit être effectuée par certains organismes et selon des modalités qui viennent d'être définies, applicables à partir du 1er avril 2025.

Les organismes autorisés à procéder à l'analyse

En principe, l'analyse demandée par l'inspection du travail doit être réalisée par un organisme accrédité.

Seuls les organismes titulaires d'une accréditation, soit auprès du Comité français d'accréditation (COFRAC), soit auprès de tout autre organisme d'accréditation compétent, peuvent procéder à cette analyse.

Cet organisme accrédité doit être indépendant de l'entreprise qui le missionne, ainsi que du fabricant, du fournisseur et de l'acheteur de la substance ou de l'agent chimique analysé.

À ce titre, l'organisme ne doit pas avoir déjà réalisé une analyse pour le compte de l'entreprise concernée au cours des 3 années suivant la date d'achèvement des derniers prélèvements de l'agent en question.

Par exception, en l'absence d'organisme accrédité, l'employeur doit en informer l'inspecteur du travail dans les plus brefs délais.

Dans ce cas, il lui revient de transmettre l'agent chimique ou la substance concernée au service commun des laboratoires du ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie.

Les exigences relatives à la méthode d'analyse

Les méthodes d'analyse et de prélèvement à adopter pour ces substances et agents chimiques sont encadrées selon les modalités suivantes.

L'analyse doit inclure une procédure analytique d'essai ainsi que l'établissement d'un rapport intégrant les résultats de l'analyse, obligatoirement rédigé en français (selon un modèle déterminé par l'administration).

Une copie du rapport doit être transmise à l'employeur dès son achèvement afin qu'il puisse communiquer les résultats à l'agent chargé du contrôle dans le délai imparti.

Si l'organisme en charge de l'analyse est responsable du choix de la méthode d'analyse, les prélèvements d'échantillons, eux, sont réalisés sous la responsabilité de l'employeur et sous le contrôle de l'inspection du travail.

À noter qu'en cas de suspicion de présence d'amiante dans les substances à analyser, le prélèvement des échantillons devra être effectué conformément aux exigences réglementaires applicables à ce type de situation.

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19/03/2025

Redressement Urssaf : tout ne s'aménage pas !

Le « contrôle par échantillonnage » permet à l'Urssaf de « simplifier » les modalités du contrôle en appliquant une méthode visant à extrapoler les résultats d'un contrôle effectué à partir d'un échantillon représentatif de salariés. Cette procédure dérogatoire suppose toutefois de respecter des conditions strictes. Illustration à partir d'un cas vécu…

Redressement Urssaf : la fixation forfaitaire de « confort » est exclue !

Afin de réduire la durée d'un contrôle Urssaf et de limiter le nombre de pièces justificatives à produire, la loi admet la possibilité pour l'Urssaf de proposer à l'employeur d'utiliser des méthodes de vérification reposant sur l'échantillonnage et l'extrapolation.

Cette méthode revient à généraliser à l'ensemble des salariés, des éléments extraits à partir d'un échantillon représentatif de la communauté afin de ne pas vérifier toutes les données normalement vérifiables au cours d'un contrôle.

De même, l'agent chargé du contrôle peut décider d'une fixation forfaitaire de l'assiette lorsque la comptabilité ne permet pas d'établir le chiffre exact des cotisations ou lorsque le cotisant ne met pas à sa disposition les documents ou justificatifs nécessaires au contrôle.

Mais, parce que ces méthodes dérogent au contrôle Urssaf de droit commun, ces hypothèses sont réservées aux seuls cas visés par la loi. Si de telles méthodes sont adoptées hors du cadre légal, elles peuvent donner lieu à l'annulation du redressement.

Dans cette affaire, à la suite d'un contrôle du montant des cotisations et de contributions sociales, l'Urssaf adresse à l'entreprise une lettre d'observation assortie d'une mise en demeure visant au recouvrement de certaines sommes qui n'ont pas été versées.

Pendant la phase de vérification, l'Urssaf et l'entreprise signent une convention de répartition de cette régularisation qui prévoyait qu'à l'exception de certains chiffrages, pour lesquels une exacte répartition peut être effectuée, des bases de régularisation globales seraient réparties entre les différentes assiettes et taux moyens de versement de transport et accident du travail.

Mais, par la suite, l'entreprise redressée décide de contester le contrôle et le redressement établis sur la base de cette convention : pour elle, la procédure autorisant le recours à la méthode de l'échantillonnage n'a pas été remplie. De ce fait, le redressement est irrégulier et doit être annulé.

Plus précisément, l'entreprise rappelle que, parce que l'Urssaf disposait ici de tous les éléments nécessaires à établir le redressement sur des bases réelles, elle ne pouvait pas extrapoler le montant du redressement à partir d'une fraction de la comptabilité à toute la population salariée.

« Faux ! », estime l'Urssaf qui considère que le cotisant contrôlé ne peut pas contester la méthode de redressement qu'il avait d'ores et déjà accepté via sa signature de la convention.

Toujours selon l'Urssaf, cette contestation ne peut pas donner lieu à l'annulation du redressement, mais seulement au déchiffrage sur des bases réelles.

Ce qui ne convainc pas le juge, qui tranche en faveur de l'entreprise en annulant le redressement contesté.

Si l'Urssaf dispose de l'ensemble des éléments de comptabilité permettant d'établir le redressement sur des bases réelles, elle ne peut pas recourir à une autre technique et ce, même si elle s'est mise d'accord, pour ce faire, avec le cotisant contrôlé…

Ces éléments d'ordre public qui s'imposent à l'Urssaf comme au cotisant contrôlé ne peuvent pas faire l'objet d'un aménagement, même d'un commun accord.

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19/03/2025

Limites d'exonération d'impôt sur le revenu applicable à la contribution patronale à l'achat de titres restaurant pour 2025

Le montant de la contribution patronale à l'achat de titres restaurant est exonéré dans la limite de 7,26 € à compter du 1er janvier 2025.


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19/03/2025

Taux de la taxe sur les salaires (payable en 2025)

Pour la métropole :

Rémunération brute annuelle

Taux applicable

 

Inférieure ou égale à 8 985 €

 

 

4,25 %

 

Supérieure à 8 985 € et inférieure ou égale à 17 936 €

 

 

8,50 %

 

Supérieure à 17 936 €

 

 

13,60 %

 

Pour l'outre-mer :

Départements d'outre-mer

Taux applicable

 

Guadeloupe

Martinique

Réunion

 

 

 

2,95 % sur le montant total des rémunérations brutes individuelles

 

Guyane

Mayotte

 

 

2,55 % sur le montant total des rémunérations brutes individuelles

 


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18/03/2025

Exonération de taxe sur les salaires : oui pour les services d'incendie et de secours, oui pour les ambulanciers ?

Si les services de lutte contre les incendies (SDIS) bénéficient d'une exonération de taxe sur les salaires, pour autant les ambulanciers ne sont pas concernés par cet avantage fiscal, alors même que leurs activités présentent des similitudes. Une iniquité susceptible d'être gommée ? Réponse…

Exonération de taxe sur les salaires : même pour les ambulances ?

Actuellement, les services départementaux de lutte contre les incendies (SDIS) sont exonérés de taxe sur les salaires.

Or, les entreprises de transport sanitaire spécialement aménagé (ambulances) exonérées de TVA sont tenues au paiement de cette taxe… Une iniquité, selon une députée qui estime qu'il existe une très grande similitude entre les activités des SDIS et celle des ambulanciers :

  • transport non urgent ou urgent des malades, blessés et parturientes ;
  • surveillance du patient et exécution des gestes appropriés à son état ;
  • service de garde dans le cadre du transport sanitaire urgent.

Partant de là, que ce soient le SDIS ou les ambulanciers, ils concourent tous les deux au service public du transport sanitaire urgent.

Il a donc été demandé au Gouvernement s'il était envisagé d'exonérer également de la taxe sur les salaires les entreprises qui exercent une activité d'ambulance exonérées de TVA.

Malheureusement, la réponse est négative : si le Gouvernement reconnait l'utilité des ambulanciers, notamment dans les territoires où l'offre médicale est moindre, il n'envisage pas pour autant de les exonérer de la taxe sur les salaires.

Pour rappel, la taxe sur les salaires est due par les employeurs qui ne sont pas soumis à la TVA, ou qui le sont sur moins de 90 % de leur chiffre d'affaires, à l'exception de certains employeurs limitativement énumérés, parmi lesquels figurent notamment, outre les collectivités locales, les services départementaux de lutte contre l'incendie (SDIS).

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18/03/2025

Accélération de la production d'énergies renouvelables : une dérogation prolongée !

Afin d'augmenter la production d'énergies renouvelables, l'État a pris un certain nombre de mesures pour faciliter la mise en œuvre de projets d'installations propres à ces énergies renouvelables. Parmi ces mesures, un cadre dérogatoire simplifiant les procédures avait été prévu pour une durée de 2 ans, désormais prorogée…

Un délai supplémentaire pour les procédures simplifiées

Pour rappel, la loi du 10 mars 2023 relative à l'accélération de la production d'énergies renouvelables, dite « APEC », a pour objectif, comme son nom l'indique, de faciliter l'installation de projets de production d'énergies renouvelables.

Pour cela, la loi a, entre autres, prévu des procédures simplifiées pour :

  • les projets de création ou de modification d'ouvrages du réseau public de transport d'électricité lorsque ceux-ci ont pour objet le raccordement de projets se rapportant aux installations de production ou de stockage d'hydrogène renouvelable ou bas-carbone ;
  • les projets de modification d'installations industrielles ayant pour objectif le remplacement de combustibles fossiles pour la production d'énergie, l'amélioration de l'efficacité énergétique ou la diminution significative des émissions de gaz à effet de serre.

Toutes conditions remplies, ces projets peuvent bénéficier de dérogations concernant, notamment :

  • les procédures de participation du public, qui peuvent être remplacées par une concertation préalable ;
  • les procédures d'évaluation environnementale, dont les projets peuvent être dispensés ;
  • une autorisation combinée pour les lignes aériennes ;
  • la construction de postes électriques en zones protégées.

Ces facilités devaient prendre fin le 10 mars 2025. Elles ont finalement été prolongées de 2 ans supplémentaires à partir de cette même date.

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18/03/2025

Accise sur les produits du tabac - 2025

En France continentale :

 

Catégorie fiscale

 

Taux (en %)

 

Tarif en € pour 1000 unités ou 1000 grammes)

 

Minimum de perception (en € pour 1 000 unités ou 1 000 grammes)

 

 

Cigarettes

 

55,00

72,70

378,80

 

Cigares et cigarillos

 

36,30

55,70

302,60

 

Tabacs fine coupe destinés à rouler les cigarettes

 

49,10

104,20

355,80

Autres tabacs à fumer ou à inhaler après avoir été chauffés

(narguilé, blunts, etc.)

51,40

35,90

152,40

Tabacs à chauffer commercialisés en bâtonnets

51,40

41,10

303,80

Autres tabacs à chauffer

51,40

155,20

1 146,40

Tabacs à priser

58,10

 

 

Tabacs à mâcher

40,70

 

 

 

En Corse :

 

Catégorie fiscale

 

Taux (en %)

 

Tarif en € pour 1000 unités ou 1000 grammes)

 

Minimum de perception (en € pour 1 000 unités ou 1 000 grammes)

 

 

Cigarettes

 

53,90

67,90

 

 

Cigares et cigarillos

 

34,30

53,70

 

 

Tabacs fine coupe destinés à rouler les cigarettes

 

46,40

95,40

 

Autres tabacs à fumer ou à inhaler après avoir été chauffés

(narguilé, blunts, etc.)

49,40

32,20

 

Tabacs à chauffer commercialisés en bâtonnets

49,40

41,10

 

Autres tabacs à chauffer

49,40

155

 

Tabacs à priser

55,40

 

 

Tabacs à mâcher

39,00

 

 


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18/03/2025

Taux de l'impôt sur les sociétés et de la contribution additionnelle - 2025

Taux de l'impôt sur les sociétés

  • Taux de droit commun

Pour les entreprises dont le chiffre d'affaires n'excède pas 10M€

Bénéfices imposables

Exercice 2025

0 à 42 500 €

15 %

au-delà de 42 500 €

25 %

Pour les entreprises dont le chiffre d'affaires est d'au moins 10 M€, le taux unique de l'IS est de 25 %.

  • Taux spécifiques
    • 19 % pour les titres de participation dans des sociétés à prépondérance immobilière cotées détenus depuis au moins 2 ans
    • 10 % (depuis le 1er janvier 2019) pour les produits nets tirés de la sous-concession ou de la concession de licences d'exploitation de brevets, d'inventions brevetables, de procédés de fabrication et de perfectionnements, si l'option pour le nouveau régime d'imposition des brevets est formulée. A défaut d'option, le taux d'imposition est fixé à 15 %.
    • 15 % pour les plus-values de cession de parts de fonds commun de placement à risques et d'actions de sociétés de capital-risque

 

Taux de la contribution additionnelle

Contribution sociale de 3,3 % sur la part de l'impôt sur les sociétés qui excède 763 000 €


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