Depuis fin 2017, des accords de rupture conventionnelle collective peuvent être conclus par les employeurs souhaitant réduire leurs effectifs en dehors de tout licenciement économique.
La digitalisation n’est pas qu’une obligation, c’est aussi un atout pour collaborer plus efficacement, facturer plus vite, améliorer le service client, sécuriser les contrats, mieux gérer votre trésorerie...
Avec la transition numérique, les entreprises sont confrontées à de nouveaux enjeux : garantir la conformité fiscale, la fiabilité du contrôle interne et la sécurité informatique.
Chaque année, autour de la date du lundi de Pentecôte qui, pour rappel, tombe le 10 juin cette année, la gestion de la journée de solidarité se pose à nouveau dans les entreprises avec son lot de questions récurrentes.
La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel du 5 septembre 2018 institue un index de l'égalité femmes-hommes. Quels sont les changements pour les entreprises ?
Instaurée en 2008, la rupture conventionnelle continue de faire recette dans les entreprises. Les employeurs doivent cependant rester vigilants sur certains points.
Le comité social et économique (CSE) doit être mis en place par les entreprises dont les effectifs sont d’au minimum 11 salariés pendant 12 mois consécutifs au plus tard le 31 décembre 2019. À cette même date, les mandats des instances représentatives du personnel existantes (délégués du personnel, comité d’entreprise et comité d’hygiène, de sécurité […]