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10/07/2023

Cybersécurité : les cabinets d'avocats très exposés aux risques

Les cyberattaques se font de plus en plus fréquentes. Elles visent tant les particuliers que les professionnels. Un rapport du Centre gouvernemental de veille et de réponse aux attaques informatiques (CERT-FR) met en évidence la particulière exposition des avocats à ces menaces…

Avocats : comprendre les risques cybers pour s'en prémunir

Clients en situation de vulnérabilité, conservation de donnés sensibles, numérisation récente du métier, rapport à la cybersécurité inégal… Les symptômes sont nombreux…

C'est ce que révèle un rapport du Centre gouvernemental de veille et de réponse aux attaques informatiques (CERT-FR) évoquant une exposition toute particulière des cabinets d'avocats aux risques de cybercriminalité.

Certains des éléments qui exposent le plus les avocats à ces attaques sont également ceux qui font que les conséquences peuvent être les plus dramatiques.

Afin de permettre une meilleure compréhension des risques, le rapport du CERT-FR détaille et illustre les principales menaces qui pèsent sur les avocats, qu'elles soient financières, qu'elles relèvent de l'espionnage ou des tentatives de déstabilisation.

Une fois le sujet mieux appréhendé, le rapport fait 30 recommandations qui doivent permettre aux cabinets d'améliorer la cybersécurité.

En parallèle, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) publie un outil sous la forme d'un questionnaire d'autoévaluation qui permet de mieux situer l'avancement de sa structure sur la voie de la cybersécurité.

Cet outil est généraliste et s'adresse à tous les types de professionnels, mais au regard du rapport du CERT-FR, il apparait opportun pour les cabinets d'avocats de s'y référer !

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10/07/2023

Engins agricoles : la présence d'un extincteur (bientôt) obligatoire ?

Des pays européens comme la Grèce ou la Belgique ont rendu obligatoire la présence d'un extincteur à bord des engins agricoles. La France va-t-elle prendre le même chemin ?

Présence d'un extincteur dans un engin agricole : pas d'obligation à venir !

La réglementation européenne ne prévoit actuellement aucune obligation imposant la présence d'un extincteur dans un engin agricole.

Elle pose essentiellement des exigences à l'égard des matériaux de construction, pour limiter le risque de départ d'incendie ou sa propagation.

Les constructeurs ont également l'obligation de prendre en compte le risque incendie dès la conception des engins agricoles. Ils peuvent, à ce titre, prévoir des espaces permettant la présence d'un extincteur, sans pour autant que cela soit obligatoire.

En France, en matière de sécurité incendie, la loi impose à l'employeur d'évaluer les risques pour la santé et la sécurité des travailleurs et de prendre les mesures nécessaires, qui doivent être retranscrites dans un document unique d'évaluation des risques professionnels.

À ce titre, le risque incendie doit être évalué par l'employeur en fonction de la nature et du lieu des travaux (conduite de tracteurs, de machines, etc.).

Parmi les mesures pouvant être mises en œuvre pour prévenir ce risque, la présence d'extincteurs est possible. Elle doit néanmoins s'accompagner d'autres actions de prévention qui permettent d'éviter le déclenchement d'un incendie : ne pas travailler par des températures élevées et/ou avec un air sec, être vigilant quant à la création de points chauds par accumulation de matières sèches et/ou de frottements mécaniques ou d'étincelles provoquées par des chocs de pierres ou de l'électricité statique, etc.

Pour le moment, il n'existe aucune règle imposant la présence d'un extincteur dans un engin agricole en France. Une situation que le Gouvernement ne compte pas modifier pour l'instant…

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07/07/2023

Installation de bornes de recharge pour véhicules : TVA à 5,5 %... sous conditions…

Les prestations de pose, d'installation et d'entretien de bornes de recharge pour les véhicules électriques peuvent bénéficier du taux réduit de TVA à 5,5 %, dès lors que toutes les conditions requises sont réunies. À ce propos, des précisions techniques étaient attendues… Elles viennent d'être publiées. Focus.

Bornes de recharge et taux réduit de TVA : des précisions techniques

Le taux réduit de TVA à 5,5 % s'applique aux prestations de pose, d'installation et d'entretien d'infrastructures de recharge pour les véhicules électriques qui répondent aux conditions suivantes :

  • les infrastructures de recharge sont installées dans des locaux à usage d'habitation et sont destinées aux résidents ;
  • la configuration des infrastructures de recharge répond à certaines exigences techniques ; 
  • les prestations sont réalisées par une personne répondant à certains critères de qualification.

Les exigences techniques auxquelles doit répondre la configuration des infrastructures de recharge sont désormais connues :

  • pour les infrastructures des immeubles collectifs, vous les trouverez ici ;
  • pour les autres infrastructures, il doit s'agir :
    • soit d'une borne de recharge équipée d'un socle de prise de courant de type 2 ou d'un connecteur de type 2, tels que décrit dans la norme NF EN 62196-2 ;
    • soit d'un point de recharge équipé d'un socle de prise de courant de type E, tel que décrit dans la norme NF C61-314, adapté à la recharge d'un véhicule électrique pour une intensité supérieure ou égale à 14 A, dit « prise renforcée ».

Quant aux personnes réalisant les prestations de pose, d'installation et d'entretien des infrastructures de recharge, elles doivent répondre aux critères de qualification suivants :

  • pour les prestations réalisées sous l'autorité du gestionnaire de réseau : il faudra respecter les critères prescrits par le gestionnaire et la réglementation pour l'intervention sur ce réseau ;
  • pour les autres prestations : les professionnels devront être titulaires d'une habilitation et, le cas échéant, d'une qualification, délivrées par un organisme de qualification accrédité.

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07/07/2023

Valises « cabine » : des prix trop variables ?

Les prix des valises « cabine » varient selon les compagnies aériennes. Ce qui n'est pas normal, selon un député, qui demande au Gouvernement s'il compte prendre des mesures pour harmoniser les prix. Réponse…

Valises « cabine » : les transporteurs aériens décident des prix !

Le Gouvernement rappelle que les règles relatives à la dimension et au poids maximum des bagages qu'un passager est autorisé à conserver avec lui dans la cabine d'un avion relèvent de la politique commerciale des transporteurs aériens.

Pour établir cette politique, les transporteurs aériens tiennent compte des attentes des clients, de leurs contraintes opérationnelles et de leurs contraintes économiques.

Les conditions d'acceptation des valises « cabine » dépendent ainsi de la nature des vols, du type d'appareil et de sa configuration, des classes de vols et des réseaux desservis.

Par ailleurs, l'Association internationale du transport aérien (IATA) fixe des recommandations à destination des transporteurs qui y adhèrent (plus de 300 compagnies aériennes). Toutefois, elles ne sont pas contraignantes et les compagnies aériennes sont libres de ne pas les respecter.

Si le Gouvernement ne va pas agir pour harmoniser la tarification des valises cabine, il compte néanmoins améliorer l'information du client, via la modification de la réglementation européenne relative à la responsabilité des transporteurs aériens concernant le transport aérien de passagers et de leurs bagages.

Dans le cadre de cette refonte, il est prévu d'obliger les transporteurs, dans un souci de transparence, à donner expressément aux clients, dès la procédure de réservation et sur leur site internet, des informations précises relatives aux conditions de transport des bagages, en cabine et en soute. Affaire à suivre…

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07/07/2023

Immobilier : focus sur le formulaire d'état des risques

Dans le cadre d'une location ou d'une vente immobilière, il faut fournir un état des risques au locataire ou à l'acquéreur. Or les propriétaires rencontrent souvent des difficultés pour éditer ce document. Voici le mode opératoire à suivre pour leur faciliter les démarches…

Édition d'un état des risques : mode d'emploi

Pour rappel, il n'existe actuellement plus de modèle officiel de l'état des risques à remettre à un locataire ou à un acquéreur.

Les propriétaires (bailleurs ou vendeurs) peuvent donc remettre un état des risques sur tout support.

En pratique, pour faciliter leurs démarches, il existe 2 possibilités :

  • remplir un formulaire interactif de l'état des risques, téléchargeable au format pdf sur la plateforme georisques.gouv.fr ;
  • utiliser l'outil numérique mis en place sur la plateforme géorisques.gouv.fr en saisissant une adresse ou une référence de parcelle pour télécharger un état des risques prérempli.

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07/07/2023

Émeutes : l'Urssaf vous vient en aide !

De nombreuses entreprises ont été touchées par les émeutes survenues en France depuis le 27 juin 2023. Consciente des difficultés que rencontrent ces entreprises, l'Urssaf a décidé d'accompagner les employeurs, les travailleurs indépendants et les autoentrepreneurs en leur proposant des solutions adaptées et en garantissant un traitement prioritaire de leurs demandes. Quelles sont-elles ?

Un accompagnement pour les employeurs

En cas de difficultés pour payer ses prochaines échéances de cotisations sociales, l'employeur peut demander un délai de paiement sur son espace en ligne.

S'il bénéficie déjà d'un plan d'apurement, une adaptation du montant de ses échéances peut également être demandée.

Pour toute question, vous pouvez contacter l'Urssaf au 3957 (service gratuit + prix de l'appel).

Un accompagnement pour les travailleurs indépendants et les auto-entrepreneurs

Pour ces professionnels, les solutions envisageables sont les suivantes :

  • en cas de difficultés :
    • il est possible de solliciter, depuis son espace en ligne, un délai de paiement ou, en présence d'un plan d'apurement, de demander à ajuster l'échéancier dont le professionnel dispose déjà ;
    • il est également possible de contacter l'Urssaf pour interrompre le prélèvement des cotisations sociales courantes, ainsi que les prélèvements liés à un plan d'apurement déjà engagé. Un nouveau délai de paiement pourra être accordé. Attention, l'interruption du prélèvement des cotisations sociales courantes ne bénéficie pas aux auto-entrepreneurs ;
  • en cas de diminution des revenus : le travailleur indépendant (ou l'autoentrepreneur) peut réévaluer à la baisse le montant de ses cotisations provisionnelles en saisissant, depuis son espace en ligne, le revenu estimé de l'année en cours.

À noter que le travailleur indépendant (ou l'autoentrepreneur) peut également solliciter une aide de l'action sociale du conseil de la protection sociale des travailleurs indépendants (CPSTI) : aide financière ou aide au paiement des cotisations.

Pour toute question, l'Urssaf peut être contactée au 3698 (service gratuit + prix de l'appel) ou au 0 806 804 209 pour les praticiens auxiliaires médicaux (service gratuit + prix de l'appel).

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07/07/2023

Inaptitude et indemnité spéciale de licenciement : cas vécu

Récemment, le juge a eu l'occasion de rappeler les règles concernant le délai de prescription applicable à une action en demande en paiement de l'indemnité spéciale de licenciement. Focus.

Paiement de l'indemnité spéciale de licenciement : sous combien de temps ?

Un salarié est licencié pour inaptitude. Presque 2 ans après, il saisit le juge pour obtenir de l'employeur le paiement d'une indemnité spéciale de licenciement.

Sauf que pour l'employeur, cette demande est trop tardive : le salarié avait 12 mois à compter de la notification de la rupture de son contrat de travail pour réclamer le paiement de cette indemnité.

Ce que confirme le juge : la demande de paiement d'une indemnité spéciale de licenciement est une action se rattachant à la rupture du contrat de travail (action qui se prescrit par 12 mois) et n'a pas pour objet la réparation d'un dommage causé à l'occasion de l'exécution du contrat de travail.

L'action de l'ancien salarié étant ici trop tardive, sa demande ne peut qu'être rejetée !

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07/07/2023

Transition écologique des entreprises : à chacun son guide !

Si la transition écologique concerne tout le monde, tous les secteurs n'ont pas les mêmes contraintes ni les mêmes leviers d'action. C'est pour cette raison que plusieurs organisations professionnelles ont élaboré des guides sectoriels pour apporter des réponses spécifiques. À l'heure actuelle, 6 guides sont disponibles… et la liste devrait s'enrichir…


Transition écologique : informer pour une meilleure action

Après avoir mis à la disposition des PME et des TPE 2 guides pour lister les dispositifs d'accompagnement en matière de transition écologique, 6 organisations professionnelles ont rédigé des livrets ciblant les besoins des entreprises de leur secteur.

Sont ainsi disponibles les livrets concernant :

  • les métiers de bouche ;
  • les instituts de beauté et SPA ;
  • les pressings ;
  • les maroquineries de détail ;
  • les piscines ;
  • les métiers de la coiffure.

Voici, pêle-mêle, quelques exemples des pistes à suivre par secteur :

  • les métiers de bouche : optimiser les temps de cuisson, faire entretenir son matériel, trier les biodéchets, etc. ;
  • les instituts de beauté et SPA : regrouper les commandes de produits grâce, par exemple, aux associations de commerçants ;
  • les pressings : mettre en place une bâche pour récupérer l'eau propre préchauffée produite par les condenseurs et l'utiliser dans les machines à laver ;
  • les maroquineries de détail : favoriser l'éclairage LED ;
  • les piscines : favoriser les systèmes automatisés pour optimiser le temps de filtration ;
  • les métiers de la coiffure : isoler le ballon d'eau chaude pour limiter les déperditions, baisser la température de la sortie de l'eau à 55° C.

Notez que cette liste, disponible ici, a vocation à être enrichie par d'autres secteurs.

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07/07/2023

Commerces dégradés : quelles sont les mesures de soutien ?

Pour soutenir les commerces dégradés ces derniers jours, suite aux émeutes, le Gouvernement vient d'annoncer une série de mesures. Quelles sont-elles ? Et comment en bénéficier ?

Commerces dégradés : panorama des mesures de soutien

Au cours des émeutes de ces derniers jours, des établissements ont été dégradés et/ou pillés : commerces, restaurants, agences bancaires, etc.

Afin de soutenir les professionnels concernés, le Gouvernement a décidé de prendre les mesures suivantes :

  • des reports de charges sociales et fiscales pour les entreprises en difficulté ;
  • la possibilité pour les commerçants les plus touchés et en grande difficulté de bénéficier, au cas par cas, d'une annulation de charges sociales et fiscales ;
  • une possibilité de moduler à la baisse son taux d'impôt sur le revenu ;
  • la possibilité d'ouvrir exceptionnellement tous les commerces le dimanche 9 juillet 2023 ;
  • la date de fin des soldes est repoussée d'une semaine, du 25 juillet au 1er août 2023 pour les départements métropolitains ;
  • les conseillers départementaux aux entreprises en difficulté sont mobilisés pour répondre aux questions et accompagner les professionnels : il est possible de les contacter au 0806 000 245.

Parallèlement, le secteur de la banque-assurance a annoncé qu'il s'engageait auprès des professionnels victimes des émeutes qui doivent effectuer leur déclaration de sinistre ou de perte d'exploitation le plus rapidement possible.

À ce propos, notez que France Assureurs a demandé à ses membres de prolonger le délai de déclaration de sinistre à 30 jours, contre 5 habituellement.

En outre, les assureurs se sont engagés :

  • à faire parvenir les indemnisations le plus rapidement possible ;
  • à réduire au maximum le montant des franchises sur les indemnisations, notamment pour les petits commerçants indépendants les plus touchés.

Par ailleurs, le Gouvernement a demandé aux banques de faire preuve de la plus grande compréhension vis-à-vis des échéances bancaires.

Enfin, il rappelle que pour effectuer une demande d'indemnisation, la première étape est le dépôt de plainte. Cette démarche doit se faire le plus rapidement possible. Dans ce cadre, le site https://www.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr/ peut être utile.

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07/07/2023

Prix du dépannage sur autoroute ou route express : cru 2023

Lorsqu'un dépanneur intervient sur autoroute ou route express, il n'est pas (totalement) libre pour fixer ses tarifs. Lorsque le véhicule en panne est léger (moins de 3,5 tonnes), il doit appliquer un barème précis, publié chaque année. Et celui de 2023 / 2024 est à présent disponible…

Tarifs des dépannages sur autoroutes et routes express : la revalorisation 2023 !

Une société de dépannage qui intervient sur autoroute ou route express doit appliquer 2 tarifs :

  • un tarif forfaitaire pour les véhicules légers (moins de 3,5 tonnes) ;
  • un tarif libre pour les véhicules lourds (plus de 3,5 tonnes).

Le tarif forfaitaire varie selon l'heure et le jour d'intervention. Depuis le 28 juin 2023, il est fixé comme suit :

  • 144,52 € pour une intervention en semaine, de 8h à 18h ;
  • 178,70 € pour une invention en semaine, de 18h à 8h, le week-end et les jours fériés.

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07/07/2023

C'est l'histoire d'un électricien qui met du temps à réagir…

Démarché à son domicile par une société, un électricien signe un bon de commande portant sur la publication d'une annonce publicitaire dans la prochaine édition de l'annuaire local, un an et demi plus tard. Mais juste avant sa publication, l'électricien change d'avis…

« Trop tard ! », conteste la société, qui réclame le paiement de sa facture : selon elle, l'électricien ne peut plus se rétracter. « Faux ! », réplique l'électricien qui, n'ayant jamais été mis au courant de l'existence de son droit de rétractation, estime que le délai lui permettant de le faire court toujours. « Trop tard ! », maintient la société : si le droit de rétractation a effectivement été prolongé en raison de l'oubli d'informer l'électricien de ce droit, il ne l'a été que pendant 1 an à compter de l'expiration du délai initial. Or, l'électricien s'est rétracté plus d'un an et demi après…

Soit bien après le terme du délai de rétractation prolongé, admet le juge, qui condamne l'électricien à payer la société !

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06/07/2023

Tarif de dépannage des véhicules légers sur autoroutes et routes express - Année 2023

Tarifs des prestations de dépannage et de remorquage sur autoroutes et routes express des véhicules légers (moins de 3,5 tonnes) :

  • tarif forfaitaire de 144,52 € TTC, applicable du lundi au vendredi, entre 8 heures et 18 heures ;
  • tarif forfaitaire majoré de 178,70 € TTC, applicable du lundi au vendredi, entre 18 heures et 8 heures, le week-end et les jours fériés.


Source : 

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