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Bandeau général
04/04/2022

Indice de la production des transports maritimes et fluviaux - Année 2022


Indice de la production des transports maritimes et fluviaux

Année 2022

Indice de la production des transports maritimes et fluviaux (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

 187,0 

- 6,9 % 

Novembre 2022

 181,2 

 - 4,9 % 

Octobre 2022

 190,9 

 - 8,6 % 

Septembre 2022

213,6

- 1,0 %

Août 2022

 214,6 

+ 7,5 % 

Juillet 2022

 197,5 

+ 3,2 % 

Juin 2022

191,3

 - 0,2 % 

Mai 2022

202,8

+ 0,8 % 

Avril 2022

200,3

+ 0,8 % 

Mars 2022

 197,2 

+ 3,2 % 

Février 2022

 186,0 

- 4,2 % 

Janvier 2022

193,1

+ 11,5 %


Source : Indice de production dans les services – Décembre 2022 (insee.fr)

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04/04/2022

Indice de la production dans les activités immobilières - Année 2022


Indice de la production dans les activités immobilières

Année 2022

Indice de la production dans les activités immobilières (référence 100 en 2015)

Période

Indice

Variation mensuelle

Décembre 2022

 99,3 

+ 5,4 % 

Novembre 2022

 94,5 

- 4,8 % 

Octobre 2022

 99,4 

- 1,8 % 

Septembre 2022

101,5

 - 1,0 % 

Août 2022

 102,3 

+ 1,8 %

Juillet 2022

 98,6 

 - 4,8 % 

Juin 2022

104,0 

 + 2,1 % 

Mai 2022

100,5 

+ 0,3 %

Avril 2022

 100,0 

 + 0,2 % 

Mars 2022

 99,7 

 - 2,0 % 

Février 2022

 102,4 

 + 2,5 % 

Janvier 2022

99,4

+ 0,1 %


Source :

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01/04/2022

Protection des consommateurs : la règlementation se modernise

Pour tenir compte de l'émergence des pratiques commerciales liées au développement des nouvelles technologies, le cadre juridique permettant de protéger les consommateurs est modernisé à partir du 28 mai 2022. Que faut-il retenir ?


La protection des consommateurs s'adapte aux nouvelles pratiques

L'utilisation croissante des technologies favorise l'émergence de nouvelles pratiques commerciales. Pour protéger les consommateurs des dérives qui peuvent en découler, de nouvelles dispositions sont mises en place à partir du 28 mai 2022.

L'une d'entre elles vise à améliorer la communication autour des annonces de réduction de prix et prévoit, notamment, que l'annonce doit indiquer le prix antérieur le plus bas au cours des 30 derniers jours précédant la réduction.

Toutefois, cette obligation ne s'applique pas aux produits périssables pouvant se dégrader rapidement.

De plus, sont désormais considérés comme étant des pratiques commerciales trompeuses, le fait de :

  • ne pas respecter les obligations concernant les annonces de réduction de prix ;
  • ne pas informer les consommateurs à propos :
  • ○ de la qualité du vendeur (professionnel ou particulier) sur une place de marché en ligne ;
  • ○ des paramètres déterminant le classement des produits ;
  • ○ des éléments permettant de garantir que les avis des consommateurs proviennent de personnes ayant vraiment acheté ou utilisé les produits ou services proposés ;
  • garantir que ces avis ont bien été déposés par des consommateurs ayant acheté ou utilisé les produits ou services proposés sans les avoir effectivement vérifiés au préalable ;
  • diffuser de faux avis de consommateurs ou de modifier de vrais avis ;
  • etc.

En outre, la règlementation encadrant les contrats conclus à distance est désormais applicable lorsqu'un consommateur échange ses données personnelles en contrepartie d'un contenu numérique sans support matériel ou d'un service numérique (obligation d'information, droit de rétractation, etc.).

Enfin, pour pénaliser certaines pratiques et contribuer au renforcement de la protection des consommateurs, de nouvelles sanctions sont ajoutées et seront appliquées en cas :

    • de manquements à l'obligation d'information sur l'existence et les modalités des garanties légales de conformité, des éventuelles garanties commerciales et, le cas échéant, du service après-vente (la sanction est de 15 000 € pour les personnes physiques et 75 000 € pour les personnes morales) ;
    • d'infractions de grande ampleur consistant à avoir recours à des pratiques commerciales déloyales continues, altérant fortement le comportement économique des consommateurs, y compris si ces infractions sont commises à l'échelle européenne ;
    • de pratiques consistant à avoir recours de manière continue à des clauses abusives déséquilibrant les relations contractuelles ;
    • etc.

Source :

      • Ordonnance n° 2021-1734 du 22 décembre 2021 transposant la directive 2019/2161 du Parlement européen et du Conseil du 27 novembre 2019 et relative à une meilleure application et une modernisation des règles de l'Union en matière de protection des consommateurs
      • Rapport au Président de la République relatif à l'ordonnance n° 2021-1734 du 22 décembre 2021 transposant la directive 2019/2161 du Parlement européen et du Conseil du 27 novembre 2019 et relative à une meilleure application et une modernisation des règles de l'Union en matière de protection des consommateurs
      • Décret n° 2022-424 du 25 mars 2022 relatif aux obligations d'information précontractuelle et contractuelle des consommateurs et au droit de rétractation

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01/04/2022

Boucheries, boulangeries : faire face aux difficultés de recrutement

Pour répondre aux besoins de recrutement dans les secteurs de la boucherie et de la boulangerie et pour renforcer leur attractivité, des chartes de développement de l'emploi et des compétences viennent d'être signées. Revue de détails…


Des solutions pour réduire les difficultés de recrutement

Depuis plusieurs années, les branches de la boucherie – charcuterie artisanale et de la boulangerie - pâtisserie artisanale rencontrent des difficultés de recrutement. Des difficultés qui n'ont fait qu'augmenter avec la crise sanitaire.

Dans ce contexte, des chartes de développement de l'emploi et des compétences ont été signées entre l'Etat et les représentants de ces secteurs d'activité pour :

  • contribuer à développer l'orientation des jeunes et des adultes vers ces secteurs ;
  • accompagner les entreprises et leurs salariés dans la mise en place de mesures en faveur de l'attractivité des métiers ;
  • faciliter, accompagner les recrutements et agir sur la qualité de l'emploi ;
  • développer les compétences et contribuer à la construction de parcours de formation.

Source : Communiqué de presse du Ministère du Travail, du 28 mars 2022

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01/04/2022

Prix des carburants : 15 à 18 centimes de remise par litre !

Comme annoncée par le gouvernement, la remise sur le prix du carburant est effective depuis le 1er avril 2022. Mais, à la pompe, son montant varie de 15 à 18 centimes par litre, selon les territoires. Pourquoi ?


Prix des carburants : une remise jusqu'au 1er août 2022

Pour faire face à la hausse exceptionnelle des prix des carburants, une remise de 15 centimes hors taxes par litre va s'appliquer du 1er avril 2022 au 1er août 2022.

Concrètement, avec la TVA, la réduction effective du prix à la pompe atteindra :

  • 18 centimes par litre en France continentale ;
  • 17 centimes par litre en Corse ;
  • 15 centimes par litre en Outre-mer.

Cette réduction s'applique à tous les carburants : gazoles B0, B7, B10, B30, B100 et XTL, y compris pour les utilisations non routières (GNR), essences SP95/98-E5, SP-95-E10, GPL-c, GNV sous forme comprimée (GNC) ou liquéfiée (GNL), superéthanol E85, éthanol diesel ED95.

Cette remise est appliquée directement par les grossistes distribuant le carburant dans les stations-services à qui l'État versera ensuite une subvention correspondant aux volumes livrés.

Pour information, notez que dans les stations, les prix remisés sont affichés aussi bien sur les totems que sur les pompes. En outre, le montant de la réduction est indiqué sur les tickets de caisse.

Par ailleurs, afin que les stations-services disposent de carburant remisé en cuve au 31 mars 2022 pour appliquer la remise dès le 1er avril 2022, 2 modalités ont été mises en place :

  • depuis le 27 mars 2022, les distributeurs peuvent vendre aux stations-services ou aux professionnels du carburant remisé ;
  • les petites stations-services indépendantes (qui vendent moins de 50 m3 par mois de carburants et qui sont propriétaires de leur fonds de commerces), susceptibles de ne pas avoir en cuve du carburant remisé au 1er avril, vont pouvoir bénéficier d'une avance forfaitaire de 3 000 € ou de 6 000 €, versée par l'Agence de services et de paiement (ASP), à réclamer avant le 30 avril 2022 et à rembourser au plus tard le 16 septembre 2022.

Source :

  • Décret n° 2022-423 du 25 mars 2022 relatif à l'aide exceptionnelle à l'acquisition de carburants
  • Décret n° 2022-447 du 30 mars 2022 relatif à l'avance de trésorerie au bénéfice des stations-service pour faciliter la mise en œuvre de l'aide exceptionnelle à l'acquisition de carburants
  • Communiqué de presse du ministère de la Transition Ecologique du 28 mars 2022
  • Actualité de service-public.fr du 29 mars 2022

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01/04/2022

Plan de résilience : des mesures de soutien pour le BTP

La situation en Ukraine a d'importantes répercussions sur l'activité des professionnels du BTP et entraîne une importante volatilité du prix des matériaux de construction. Pour les soutenir, le gouvernement a annoncé la mise en œuvre de plusieurs dispositifs. Lesquels ?


5 dispositifs de soutien aux professionnels du BTP

Pour accompagner les entreprises du secteur du BTP, le gouvernement vient d'annoncer :

  • la publication d'une circulaire précisant les modalités de prise en compte des conséquences de la crise dans le cadre des marchés publics et encourageant, notamment, les acteurs publics à suspendre les pénalités contractuelles ;
  • l'accélération de la publication des index du BTP : actuellement publiés 80 jours après la fin du mois, ils vont être publiés 45 jours après la fin du mois afin d'actualiser plus rapidement les prix des matières premières dans l'exécution des contrats ;
  • l'activation des cellules de crise réunissant, sous l'égide des préfets, les fédérations professionnelles de la filière, les distributeurs et industriels locaux et les donneurs d'ordre publics ;
  • la mise en place d'une aide temporaire pour les entreprises des travaux publics, versée en une fois et au prorata du chiffre d'affaires des entreprises éligibles, pour compenser en partie la hausse des prix du GNR (gazole non routier) ;
  • la réforme du GNR lors de la prochaine loi de Finances.

Source : Communiqué de presse du ministère de l'Economie du 29 mars 2022, n° 2216

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01/04/2022

Rupture conventionnelle : un formalisme adaptable ?

Si la rupture conventionnelle permet à l'employeur et au salarié de mettre fin au contrat de travail d'un commun accord, elle répond à un formalisme précis. Reste à savoir si ce dernier peut être adapté en fonction de la situation…


Rupture conventionnelle : une procédure précise !

Pour rappel, la rupture conventionnelle répond à une procédure spécifique, avec notamment la tenue d'un entretien minimum ainsi que la rédaction et signature d'une convention. Une fois la convention signée, l'employeur doit en remettre un exemplaire au salarié. De là court un délai de rétractation, à l'issue duquel une demande d'homologation doit être faite auprès de l'administration, à l'initiative de l'employeur ou du salarié.

Reste à savoir si l'information de l'existence de ce délai de rétractation peut être faite par un autre moyen que par la remise d'une copie de la convention.

Cette question s'est justement posée lors d'une récente affaire dans laquelle un salarié dénonçait l'absence de remise d'un exemplaire de la convention, ne lui permettant pas d'exercer son droit de rétractation en toute connaissance de cause.

Une position contestée par l'employeur qui, preuve à l'appui, estimait l'avoir bien informé de l'existence de ce délai de rétractation.

Une information insuffisante pour le juge, pour qui la remise d'une copie de la convention reste nécessaire !

Source : Arrêt de la Cour de cassation, chambre sociale, du 16 mars 2022, n°20-22265

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01/04/2022

Immersion en entreprise : une nouvelle campagne de promotion

Afin de permettre aux personnes les plus éloignées de l'emploi de se remettre en activité le plus tôt possible, le Gouvernement a lancé, récemment, une campagne de promotion du dispositif d'immersion en entreprise auprès des TPE…


Immersion en entreprise : une campagne à destination de secteurs précis

Face aux effets bénéfiques de l'immersion en entreprise, une campagne est lancée afin de développer un recours massif à ce dispositif.

Cette campagne a pour objectif de faire connaître aux TPE, principalement dans les secteurs en tension (industrie, commerce, hôtellerie-restauration, etc.), les possibilités qu'offre ce système. Un lien devrait notamment être assuré avec Pôle emploi, afin que des profils de demandeurs d'emploi soient proposés aux entreprises intéressées.

Notez qu'afin de faciliter le référencement des entreprises intéressées par ce dispositif, une plateforme a été créée, que vous pouvez retrouver ici.

Source : Communiqué de presse du ministère du Travail, du 17 mars 2022

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01/04/2022

Associations : toujours exonérées d'impôts ?

Le seuil de la franchise permettant aux associations à but non lucratif exerçant une activité lucrative accessoire d'échapper aux impôts commerciaux est revalorisé. A combien est-il fixé pour 2022 ?


Franchise des impôts commerciaux : le seuil 2022

En principe, les associations à but non lucratif échappent aux impôts commerciaux, à condition de remplir les critères de non-lucrativité.

Toutefois, à côté de leur activité non lucrative, certaines peuvent exercer une activité lucrative dite accessoire. Dans cette hypothèse, elles pourront tout de même échapper aux impôts commerciaux (impôt sur les sociétés, TVA et contribution économique territoriale) si les revenus tirés de l'activité lucrative accessoire n'excèdent pas une limite fixée à 73 518 € pour 2022.

Rappelons que pour bénéficier de cette franchise, les associations concernées doivent remplir les conditions suivantes :

  • leur gestion doit être désintéressée ;
  • leurs activités non lucratives doivent rester significativement prépondérantes ;
  • le montant des recettes d'exploitation encaissées au cours de l'année civile provenant des activités lucratives accessoires ne doit pas dépasser 73 518 €.

Source : Actualité Bofip-Impôts du 23/03/2022

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01/04/2022

C'est l'histoire d'un dirigeant qui reçoit, non pas 1, mais 2 inspecteurs des impôts...



C'est l'histoire d'un dirigeant qui reçoit, non pas 1, mais 2 inspecteurs des impôts...


En plus du contrôle de son entreprise, le gérant d'une EURL reçoit un avis de contrôle l'informant d'un prochain contrôle, à titre personnel cette fois. Au cours du 1er rendez-vous, le vérificateur chargé de son contrôle personnel est accompagné du vérificateur en charge, lui, du contrôle de l'EURL…


Un « accompagnateur » dont il n'a pas été informé de la visite, conteste le gérant pour qui cette présence est irrégulière, l'avis de contrôle étant muet sur ce point. Et parce que le contrôle s'est finalement conclu par un redressement fiscal, il en réclame l'annulation. Sauf que rien ne l'oblige à mentionner sur l'avis de contrôle le nom des agents qui seront chargés du contrôle, estime l'administration ; et un vérificateur peut venir accompagné d'un collègue qualifié pour effectuer le contrôle, ajoute-t-elle…


Ce que confirme le juge pour qui la présence d'un 2nd agent lors du 1er rendez-vous de contrôle n'est pas irrégulière, et n'invalide donc pas le redressement fiscal qui s'en suit…




Arrêt du Conseil d'Etat du 24 avril 2019, n° 408479

La petite histoire du jour



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31/03/2022

Déchets et biodéchets : une collecte conjointe (im)possible ?

En principe les biodéchets devant faire l'objet d'un tri à la source ne peuvent être mélangés avec d'autres déchets. Toutefois, une dérogation est mise en place pour certains déchets et emballages. Lesquels ?


Quels déchets peuvent être collectés avec les biodéchets ?

Les déchets composés majoritairement de biodéchets doivent être triés à la source en vue d'une valorisation sur place ou d'une collecte séparée pour permettre leur valorisation. Ainsi, ils ne peuvent pas, en principe, être mélangés avec d'autres déchets.

Toutefois, une dérogation a été mise en place pour permettre une collecte et une valorisation conjointes de certains déchets avec ces biodéchets triés à la source, tels que :

  • les sacs de collecte de ces biodéchets, composés de papier ou carton uniquement, ou composés de plastique avec éventuellement une partie en papier ou en carton ;
  • les filtres à café et les sachets de thé ou tisane lorsqu'ils sont en papier (avec leur contenu) ;
  • les essuie-tout, serviettes et mouchoirs en papier ;
  • les capsules et dosettes de café composées à 95 % de papier ;
  • les déchets organiques ménagers (fleurs fanées, cheveux, ongles, plumes et poils d'animaux de compagnie).

Vous pouvez retrouver plus de précisions concernant la composition exacte de ces déchets ici. Enfin, notez que l'ensemble de ces dispositions sont applicables depuis le 24 mars 2022.

Source : Arrêté du 15 mars 2022 listant les emballages et déchets compostables, méthanisables et biodégradables pouvant faire l'objet d'une collecte conjointe avec des biodéchets ayant fait l'objet d'un tri à la source

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31/03/2022

Secteur de la pêche : bénéficier d'une aide financière avant qu'il ne soit trop tard !

FranceAgriMer est en charge d'un programme de soutien financier pour des projets d'investissements dans le domaine de la transformation et de la commercialisation des produits de la pêche. Pour obtenir cette aide, il faut déposer son dossier rapidement…


Bénéficier d'une aide financière délivrée par FranceAgriMer

Depuis le 11 mars 2022 et jusqu'au 30 avril 2022, il est possible de déposer un dossier pour bénéficier d'une aide pour des projets d'investissements (matériels ou immatériels) dans les ports de pêche, les halles à marée et les sites de débarquement, ainsi que dans le domaine de la transformation et de la commercialisation des produits de la pêche et de l'aquaculture.

Sont notamment éligibles les investissements contribuant à :

  • améliorer la qualité, le contrôle ou la traçabilité des produits débarqués ;
  • et/ou améliorer l'efficacité énergétique ou la protection environnementale, la sécurité ou les conditions de travail ;
  • et/ou faciliter le respect de l'obligation de débarquer toutes les captures et la valorisation de leur partie sous-utilisée.

Source : Actualité de FranceAgriMer

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