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12/10/2021

Ecoles d'ostéopathie : le point sur l'assouplissement (temporaire) de vos conditions d'agrément

Les conditions d'octroi de l'agrément nécessaire à l'activité exercée par les écoles d'ostéopathie viennent de faire l'objet d'assouplissements temporaires. Revue de détails…


Ecole d'ostéopathie : qu'est-ce que « l'agrément temporaire » ?

Pour mémoire, les établissements de formation en ostéopathie sont tenus, pour l'exercice de leur activité, d'obtenir un agrément dont la délivrance est conditionnée par le respect d'un certain nombre de critères.

Pour améliorer le processus de délivrance de ce document, il est prévu que le ministre en charge de la santé ait désormais la possibilité de délivrer un agrément provisoire d'une année seulement (contre 5 habituellement) aux écoles qui ne répondent pas totalement aux critères d'agrément mais qui bénéficient d'un court délai pour mettre en place les actions correctrices nécessaires.

Dans ce cas, le ministre évalue, à l'issue de ce délai d'un an, les éléments produits par l'école et décide, ou non, de prolonger l'agrément octroyé pour la durée restante de 4 ans.

Par ailleurs, il est exceptionnellement prévu que les établissements de formation qui ont déposé un dossier de demande en 2019 ou 2020 et dont l'agrément a été refusé ou la capacité d'accueil réduite en 2020 puissent demander la délivrance d'un agrément provisoire, dont la date d'expiration est fixée au 31 août 2022.

Notez que pour être recevable, la demande d'agrément provisoire doit intervenir au plus tard le 12 octobre 2021.

Source : Décret n° 2021-1284 du 1er octobre 2021 modifiant le décret n° 2014-1043 du 12 septembre 2014 relatif à l'agrément des établissements de formation en ostéopathie

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12/10/2021

Aides agricoles : les montants 2021 sont connus

Les montants de diverses aides financières dont peuvent bénéficier les agriculteurs pour la campagne 2021 sont connus. De quelles aides s'agit-il ?


Publication des montants des aides agricoles pour l'année 2021

Les montants de certaines aides financières pour les agriculteurs sont connus pour la campagne 2021, à savoir :

  • les aides ovines et caprines, consultables ici ;
  • l'aide aux bovins allaitants, consultable ici ;
  • les aides aux bovins laitiers, consultables ici ;
  • les montants du paiement redistributif et en faveur des jeunes agriculteurs, consultables ici.

Sources :

  • Arrêté du 30 septembre 2021 relatif aux montants des aides ovines et de l'aide caprine pour la campagne 2021 en France métropolitaine
  • Arrêté du 30 septembre 2021 relatif aux montants de l'aide aux bovins allaitants pour la campagne 2021 en France métropolitaine
  • Arrêté du 30 septembre 2021 relatif aux montants des aides aux bovins laitiers pour la campagne 2021 en France métropolitaine
  • Arrêté du 30 septembre 2021 fixant les montants du paiement redistributif et en faveur des jeunes agriculteurs pour la campagne 2021

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12/10/2021

Une expérimentation pour reconnaître les médicaments biologiques les plus efficients

Une expérimentation a été lancée pour inciter à la prescription de médicaments biologiques efficients. Cette expérimentation est basée sur un cahier des charges qui vient d'être modifié…


Prescription des médicaments biologiques efficients : un cahier des charges modifié

Pour rappel, un dispositif expérimental a vu le jour pour favoriser le développement de la prise en compte de l'efficience des médicaments lors de la prescription de médicaments biologiques.

Les établissements participant à l'expérimentation reçoivent une rémunération incitative à la prescription de médicaments biologiques efficients.

Cette rémunération dépend du respect d'un certain nombre de conditions prévues dans un cahier des charges qui vient d'être modifié : les nouveautés sont consultables ici.

Source : Arrêté du 30 septembre 2021 modifiant l'arrêté du 19 avril 2021 relatif à l'expérimentation pour l'incitation à la prescription hospitalière de médicaments biologiques délivrés en ville

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12/10/2021

Grippe aviaire : une réglementation renforcée

Pour lutter contre la grippe aviaire, le gouvernement a créé des « zones à risque de diffusion » et a instauré des règles de biosécurité. A quoi servent-elles ? Qui est concerné ?


Grippe aviaire : qu'est-ce qu'une « zone à risque de diffusion » ?

Depuis le 1er octobre 2021, certaines communes, dont la liste est consultable ici, sont considérées comme des « zones à risque de diffusion » de la grippe aviaire hautement pathogène.

Pour rappel, une « zone à risque de diffusion » correspond à une partie du territoire dans laquelle la probabilité de transmission de la grippe aviaire hautement pathogène est supérieure au reste du territoire.

Pour limiter la propagation du virus entre élevages, des mesures peuvent être prises dans lesdites zones. Par exemple, en période de risque « modéré », l'obligation de mise à l'abri s'applique aux palmipèdes âgés de moins de 42 jours.

Si le niveau de risque augmente à « élevé », des mesures de prévention et de surveillance supplémentaires s'appliquent, comme l'obligation pour tout véhicule pénétrant dans la zone professionnelle de l'élevage de faire l'objet d'une désinfection avant l'entrée, puis au départ de ladite zone.


Grippe aviaire : respecter des règles de biosécurité

Pour éviter l'apparition et la propagation de la grippe aviaire dans les établissements détenant des volailles ou des oiseaux captifs, ces établissements doivent respecter des règles de biosécurité.

L'ensemble de ces règles sont consultables ici.

A titre d'exemple, elles imposent le suivi d'une formation par le personnel relative à l'élaboration et à la gestion du plan de biosécurité et aux bonnes pratiques d'hygiène en établissement.

Sources :

  • Arrêté du 29 septembre 2021 définissant les zones à risque de diffusion du virus de l'influenza aviaire
  • Arrêté du 29 septembre 2021 relatif aux mesures de biosécurité applicables par les opérateurs et les professionnels liés aux animaux dans les établissements détenant des volailles ou des oiseaux captifs dans le cadre de la prévention des maladies animales transmissibles aux animaux ou aux êtres humains

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12/10/2021

Constructeurs : des normes parasismiques aménagées

Les constructeurs doivent tenir compte de nombreux éléments, dans leurs projets, dont des normes parasismiques… qui viennent d'être aménagées. Où trouver ces normes « modifiées » ?


Constructeurs : modification des règles de construction parasismique

Lors de la construction des bâtiments, les professionnels doivent tenir compte de nombreuses normes techniques, dont des normes parasismiques.

Celles-ci viennent de faire l'objet de quelques aménagements, consultables ici.

A titre d'exemple, la référence à la norme « NF P 06-014 mars 1995 amendée A1 février 2001-construction parasismique des maisons individuelles et des bâtiments assimilés, règles PS-MI 89 révisées 92 » est remplacée par le « guide de construction parasismique des maisons individuelles et son erratum - DHUP CPMI-EC8 zones 3 et 4 édition août 2021 (1) », appelé guide CPMI.

Source : Arrêté du 8 septembre 2021 modifiant l'arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal »

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12/10/2021

Transport et obligation d'équipement hivernal : une tolérance pour l'hiver 2021/2022

Les usagers de la route qui souhaitent circuler dans les zones montagneuses devront installer un équipement spécifique sur leur véhicule dès l'hiver 2021/2022. Et s'ils ne le font pas ?


Transport et équipement hivernal : pas de sanction, mais jusqu'à quand ?

Pour mémoire, à partir du 1er novembre 2021, les véhicules circulant dans les zones montagneuses (Alpes, Corse, Massif central, Massif jurassien, Pyrénées, Massif vosgien) entre le 1er novembre et le 31 mars de l'année suivante, devront disposer d'un équipement spécifique leur permettant de circuler sur les routes enneigées en toute sécurité.

Toutefois, le gouvernement vient d'annoncer qu'aucune sanction ne sera infligée aux usagers qui ne respectent pas cette obligation au cours de la première année de mise en place de ce dispositif.

Cette tolérance s'applique donc uniquement pour les infractions commises entre le 1er novembre 2021 et le 31 mars 2022, afin de privilégier les actions informatives et pédagogiques.

Sources :

  • Communiqué de presse du ministère de l'intérieur du 4 octobre 2021
  • Site de la sécurité routière

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11/10/2021

Coronavirus (COVID-19) : combien cela coûte de se faire tester ?

A partir du 15 octobre 2021, le gouvernement va mettre fin à la gratuité générale des tests de dépistage de la Covid-19. Certaines personnes devront donc payer leur test. Lesquelles ?


Coronavirus (COVID-19) et test : payant à compter du 15 octobre 2021

A partir du 15 octobre 2021, les tests resteront pris en charge par l'Assurance maladie pour les personnes :

  • ayant un schéma vaccinal complet ou une contre-indication à la vaccination ;
  • mineures ;
  • identifiées dans le cadre du contact-tracing par l'Assurance maladie ;
  • concernées par des campagnes de dépistage collectif (par exemple, organisées par les agences régionales de santé ou au sein des établissements de l'éducation nationale) ;
  • présentant une prescription médicale ;
  • ayant un certificat de rétablissement de moins de 6 mois.

Pour les autres personnes, le prix du test leur sera facturé à hauteur de :

  • 43,89 € pour les tests RT-PCR
  • pour les tests antigéniques, selon les cas de figure :
  •  

    Pharmacien

    Laboratoire de biologie médicale

    Infirmier

    Médecin

    Sage-femme

    Chirurgien-dentiste

    Masseur Kiné

    Tarif en cabinet/officine

    Semaine : 25,01 €

    Dimanche :

    30,01 €

    22,02 €

    25,54 €

    45,11 € (inclut le coût de la consultation)

    45,11 € (inclut le coût de la consultation

    25,10 €

    24,93 €

    Tarif à domicile

     

     

    29,01 €

     

     

     

    29,95 €

Source : Communiqué de presse du ministère de la Santé du 8 octobre 2021

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11/10/2021

Coronavirus (COVID-19) : combien cela coûte de se faire tester en Outre-mer ?

A partir du 15 octobre 2021, la politique du gouvernement concernant la prise en charge du coût des tests va évoluer. Toutefois, des particularités sont à connaître pour l'Outre-mer. Lesquelles ?


Coronavirus (COVID-19) et test : quelle réglementation en Outre-mer ?

A partir du 15 octobre 2021, les tests resteront pris en charge par l'Assurance maladie pour les personnes :

  • ayant un schéma vaccinal complet ou une contre-indication à la vaccination ;
  • mineures ;
  • identifiées dans le cadre du contact-tracing par l'Assurance maladie ;
  • concernées par des campagnes de dépistage collectif (par exemple, organisées par les agences régionales de santé ou au sein des établissements de l'éducation nationale) ;
  • présentant une prescription médicale ;
  • ayant un certificat de rétablissement de moins de 6 mois.

Pour les autres personnes, le prix du test leur sera facturé à hauteur de :

  • 43,89 € pour les tests RT-PCR
  • pour les tests antigéniques, selon les cas de figure :
  •  

    Pharmacien

    Laboratoire de biologie médicale

    Infirmier

    Médecin

    Sage-femme

    Chirurgien-dentiste

    Masseur Kiné

    Tarif en cabinet/officine

    Semaine : 25,01 €

    Dimanche :

    30,01 €

    22,02 €

    25,54 €

    45,11 € (inclut le coût de la consultation)

    45,11 € (inclut le coût de la consultation

    25,10 €

    24,93 €

    Tarif à domicile

     

     

    29,01 €

     

     

     

    29,95 €

* Pour la Réunion, le tarif semaine est de 27,16 € et de 32,16 € le dimanche.

Toutefois, compte tenu de la situation sanitaire en Outre-mer, des particularités sont à connaître.

Ainsi, en Guyane, en Martinique et en Guadeloupe, la fin de la gratuité des tests interviendra à la date de fin de l'état d'urgence sanitaire.

Enfin, à Mayotte, le dispositif de fin de remboursement des tests ne s'appliquera pas pour le moment du fait de la fragilité du système de dépistage local.

Source : Communiqué de presse du ministère de la Santé du 8 octobre 2021

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11/10/2021

Coronavirus (COVID-19) : du nouveau pour les autotests

A partir du 15 octobre 2021, la politique du gouvernement concernant les tests va évoluer, notamment en ce qui concerne les autotests. Que devez-vous savoir ?


Coronavirus (COVID-19) : autotest = pass sanitaire ?

A partir du 15 octobre 2021, les autotests réalisés sous la supervision d'un professionnel de santé ne seront plus reconnus comme preuve pour le pass sanitaire.

Les autotests réalisés sans supervision resteront accessibles pour un suivi individuel mais ne donneront toujours pas accès au pass sanitaire.

Source : Communiqué de presse du ministère de la Santé du 8 octobre 2021

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11/10/2021

Coronavirus (COVID-19) : prolongation du soutien aux viticulteurs

En raison des tensions sur le marché viticole occasionnées par la crise sanitaire, l'Union européenne a exceptionnellement autorisé les Etats membres à déroger aux règles communes pour soutenir les acteurs de ce marché. Cette dérogation est-elle prolongée pour 2022 ?


Coronavirus (COVID-19) : continuer à soutenir le marché viticole en 2022

Le marché viticole est particulièrement impacté par la crise sanitaire et économique liée à la covid-19, les stocks de marchandises ne se vidant pas en raison de problèmes de débouchés.

Pour mettre en place des soutiens spécifiques et adaptés aux acteurs de ce marché, l'Union européenne a autorisé les Etats membres à déroger exceptionnellement aux règles communes durant les années 2020 et 2021.

Cette dérogation exceptionnelle vient d'être prolongée pour l'année 2022.

Source : Règlement d'exécution (UE) 2021/1763 de la Commission du 6 octobre 2021 modifiant le règlement d'exécution (UE) 2020/600 en ce qui concerne les dérogations au règlement d'exécution (UE) 2016/1150 destinées à faire face à la crise provoquée par la pandémie de COVID-19 dans le secteur vitivinicole

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11/10/2021

Environnement et ICPE : quid du stockage de liquides inflammables ?

Parce qu'elles représentent un risque important pour la sécurité de la population et pour l'environnement, les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) et les installations « Seveso » sont soumises à une réglementation stricte, qui vient de faire l'objet d'ajustements. Voici quelques précisions à ce sujet…


Stockage de liquides inflammables dans les ICPE : un ajustement de la règlementation

Pour mémoire, les installations classées pour la protection de l'environnement (ICPE) sont celles susceptibles de provoquer des risques de pollution ou des nuisances pour la sécurité des populations. Les installations dites « Seveso » présentent, quant à elles, des risques industriels importants en raison des substances dangereuses (chimiques, inflammables, etc.) qu'elles manipulent.

En raison du danger qu'ils représentent, ces 2 types d'installations sont soumis à une réglementation stricte permettant de renforcer la prévention des accidents.

Certaines de ces dispositions viennent de faire l'objet d'ajustements, lesquels ont notamment trait :

  • au stockage de liquides inflammables et de produits combustibles en récipients mobiles (soit ceux avec une capacité mobile manutentionnable d'un volume inférieur ou égal à 3 m3 de type barils, bidons, fûts, etc.) ou dans des réservoirs aériens (soit ceux se trouvant entièrement au-dessus du niveau du sol de type citernes, réservoirs extérieurs, etc.) ;
  • à la prévention des accidents majeurs impliquant des substances ou mélanges dangereux dans les ICPE : à titre d'exemple, une précision est apportée sur le contenu du document exposant la politique de prévention des accidents majeurs de l'exploitant ;
  • à la prévention des risques accidentels au sein des ICPE soumises à autorisation ;
  • etc.

Le détail de ces ajustements, qui sont entrés en vigueur le 3 octobre 2021, est disponible ici.

Source : Arrêté du 22 septembre 2021 modifiant les arrêtés ministériels du 24 septembre 2020 et du 3 octobre 2010 relatifs au stockage de liquides inflammables, exploités au sein d'une installation classée pour la protection de l'environnement soumise à autorisation, l'arrêté du 26 mai 2014 relatif à la prévention des accidents majeurs dans les installations classées mentionnées à la section 9, chapitre V, titre Ier du livre V du code de l'environnement et l'arrêté du 4 octobre 2010 relatif à la prévention des risques accidentels au sein des installations classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation

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08/10/2021

Substances dangereuses : de quoi le consommateur doit-il être informé ?

Pour préserver la santé humaine et l'environnement, la règlementation prévoit l'information obligatoire du consommateur de la présence de certaines substances dans les produits qu'il achète. Une précision vient de paraître à ce sujet…


Substances dangereuses : la liste est mise à jour !

Pour mémoire, afin d'améliorer l'information des consommateurs, les producteurs et importateurs de produits générateurs de déchets sont tenus de les informer sur les qualités et caractéristiques environnementales de ces produits, notamment en ce qui concerne la présence de substances dangereuses.

Cette information s'effectue par voie de marquage, d'étiquetage, d'affichage ou par tout autre procédé approprié.

Dans le sillage de ce dispositif, la règlementation européenne prévoit que tout consommateur peut demander à un fournisseur d'articles de l'informer sur l'éventuelle présence de substances identifiées comme « extrêmement préoccupantes », dont la liste évolue chaque semestre.

La version actualisée de la liste au 4 octobre 2021 est disponible ici.

Source : Décret n° 2021-1285 du 1er octobre 2021 relatif à l'identification des substances dangereuses dans les produits générateurs de déchets

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