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02/12/2021

Coronavirus (COVID-19) et 5e vague : de nouvelles restrictions pour les voyageurs

En raison de la 5e vague de coronavirus (covid-19) en Europe, le gouvernement a décidé d'encadrer plus strictement les modalités d'entrée des personnes sur le territoire Français. Comment ?


Coronavirus (COVID-19) et 5e vague : tour de vis sanitaire pour les déplacements

A compter du 4 décembre 2021, en raison de la situation sanitaire et de la découverte du variant Omicron, les personnes âgées d'au moins 12 ans souhaitant venir en France en provenance d'Afrique du Sud, du Botswana, d'Eswatini, de l'Île Maurice, du Lesotho, du Malawi, du Mozambique, de Namibie, de Zambie ou du Zimbabwe devront présenter un test PCR négatif de moins de 48h ou un test antigénique négatif de moins de 24h.

Les déplacements en provenance de l'un des pays précités ne sont autorisés que s'ils sont fondés, justificatifs à l'appui, sur un motif impérieux d'ordre personnel ou familial, un motif de santé relevant de l'urgence ou un motif professionnel ne pouvant être différé.

Par ailleurs, les personnes âgées d'au moins 12 ans en provenance :

  • d'un Etat membre de l'Union européenne, d'Andorre, d'Islande, du Liechtenstein, de Monaco, de la Norvège, de Saint-Marin, du Saint-Siège ou de la Suisse, doivent présenter un test négatif de moins de 24h ;
  • d'un pays autre que ceux précités, doivent présenter un test négatif de moins de 48h.

Enfin, ces personnes doivent se munir d'une déclaration sur l'honneur attestant qu'elles acceptent qu'un test soit réalisé à leur arrivée.

Source : Décret n° 2021-1555 du 1er décembre 2021 modifiant le décret n° 2021-699 du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire

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02/12/2021

« Indemnité inflation » : une aide exceptionnelle pour de nombreux français !

Le 21 octobre 2021, suite à la montée des prix du carburant, le gouvernement a annoncé le versement d'une « indemnité inflation » de 100 € aux français. Qui peut en bénéficier ? Comment sera-t-elle versée ? Les réponses à ces questions sont enfin connues…


« Indemnité inflation » : une aide financière sous conditions…

« L'indemnité inflation » est une aide exceptionnelle de 100 €, à la charge de l'Etat, qui va être versée, une seule fois, à toute personne :

  • âgée d'au moins 16 ans ;
  • qui réside régulièrement en France ;
  • que le montant de ses ressources, en fonction de sa situation, rend particulièrement vulnérable à la hausse du coût de la vie prévue pour le dernier trimestre 2021.

Cette indemnité est exonérée d'impôt sur le revenu, de CSG (contribution sociale généralisée) et de CRDS (contribution pour le remboursement de la dette sociale).

Elle est versée par les personnes débitrices de revenus d'activité (comme les employeurs), de remplacement ou de prestations sociales (comme Pôle emploi) ou, à défaut, par tout autre organisme qui sera désigné par décret (non encore paru à ce jour).

Les payeurs seront intégralement remboursés des sommes versées. Il est d'ores et déjà précisé que pour les payeurs tenus au paiement de cotisations et contribution sociales, le remboursement pourra être imputé sur le montant des cotisations et contributions dues.

Un décret (non encore paru à ce jour) viendra préciser :

  • les conditions de ressources requises des bénéficiaires, en fonction de leur situation ;
  • les modalités de versement de l'aide ;
  • les règles de priorité entre payeurs potentiels (en cas de pluralité) ;
  • les modalités de versement aux organismes des sommes dues au titre du remboursement intégral des aides versées ou de la perte de cotisations sociales liées à l'imputation.

Pour finir, notez que cette aide n'est pas prise en compte pour le calcul des revenus et ressources ouvrant droit aux allocations, prestations et avantages (contributifs ou non), ni pour déterminer le montant de ces allocations, prestations et avantages.

Source : Loi de finances rectificative pour 2021 du 1er décembre 2021, n°2021-1549 (article 13)

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02/12/2021

Liste d'opposition au démarchage téléphonique : des changements à venir…

La règlementation relative à la liste d'opposition au démarchage téléphonique va évoluer au 1er janvier 2022. En quel sens ?


Opposition au démarchage téléphonique : du nouveau au 1er janvier 2022 !

Pour mémoire, tout consommateur qui ne souhaite pas faire l'objet d'un démarchage téléphonique a la possibilité de s'inscrire sur une liste d'opposition gérée par Worldline.

A compter du 1er janvier 2022, l'obligation faite à Worldline de rendre accessible, dans un format ouvert, aisément réutilisable et exploitable par un système de traitement automatisé, les données essentielles de son activité, est précisée.

Sont concernées les données suivantes :

  • le nombre de professionnels adhérents ;
  • le montant des redevances versées par les professionnels adhérents ;
  • le nombre de consommateurs et de numéros de téléphone inscrits sur la liste d'opposition ;
  • le nombre de numéros de téléphone transmis par les professionnels adhérents aux fins de retrait de leurs fichiers de prospection commerciale des numéros inscrits sur la liste d'opposition ;
  • le nombre de numéros de téléphone de consommateurs inscrits sur la liste d'opposition retirés des fichiers de prospection commerciale des professionnels adhérents ;
  • le nombre de réclamations déposées par les consommateurs.

A compter de cette même date, il est prévu que l'inscription sur la liste d'opposition au démarchage téléphonique soit reconductible de manière tacite par période de 3 ans.

Le consommateur doit être informé, lors de son inscription et au moins 3 mois avant la date de reconduction tacite de son inscription, des modalités de désinscription de la liste.

Notez que cette disposition ne s'applique pas aux inscriptions en cours au 1er janvier 2022 dont l'échéance intervient avant le 1er avril 2022.

Source : Décret n° 2021-1528 du 26 novembre 2021 relatif aux conditions de reconduction tacite de l'inscription sur la liste d'opposition au démarchage téléphonique et à la nature des données essentielles devant être rendues publiques par le gestionnaire de cette liste

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02/12/2021

Discrimination sur les IBAN européens : quelles conséquences ?

Lorsqu'un consommateur utilise un relevé d'identité bancaire (RIB) sur lequel apparaît un IBAN européen dans le cadre de la réalisation d'un prélèvement ou d'un virement, son créancier peut-il le refuser ?


Peut-on refuser un IBAN européen ?

Depuis 2012, une règlementation prévoit un Espace unique de paiement en euros (SEPA) permettant à toute personne titulaire d'un compte bancaire situé dans un pays appartenant à cette zone, d'émettre des virements ou prélèvements vers un autre compte bancaire, également situé dans l'un de ces pays.

Concrètement, cela implique qu'il est interdit pour un créancier d'un pays de la zone SEPA, de refuser un virement ou un prélèvement provenant d'un compte domicilié dans un autre pays de la même zone économique et disposant donc d'un IBAN européen.

Notez que depuis le 8 octobre 2021, le non-respect de cette obligation peut être sanctionné par une amende de 75 000 € pour les personnes physiques ou de 375 000 € pour les personnes morales.

Enfin, les personnes ayant subi ce type de refus peuvent le signaler à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) via la plateforme : https://signal.conso.gouv.fr/

Source : Actualité du site de la DGCCRF du 24 novembre 2021

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02/12/2021

Additif E171 : autorisé pour les animaux ?

L'additif E171 est interdit pour les êtres humains. L'est-il aussi pour les animaux ? La réponse vient de changer…


Additif E171 : interdit aux animaux !

L'additif E171, qui est notamment utilisé comme colorant pour les produits alimentaires, n'est plus autorisé pour les produits destinés aux êtres humains.

Cette interdiction va être étendue aux produits pour les animaux, de la manière suivante :

  • les stocks existants de l'additif et les prémélanges qui en contiennent doivent être retirés du marché au plus tard le 20 mars 2022 ;
  • les matières premières des aliments pour animaux, ainsi que les aliments composés pour animaux produits, avant le 20 mars 2022, avec l'additif ou les prémélanges, doivent être retirés du marché au plus tard le 20 juin 2022.

Source : Règlement d'exécution (UE) 2021/2090 de la Commission du 25 novembre 2021 concernant le refus d'autorisation du dioxyde de titane en tant qu'additif dans l'alimentation de toutes les espèces animales

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01/12/2021

Associé ou salarié : existe-t-il un lien de subordination ?

Pour qu'une personne soit qualifiée de salarié, il faut qu'un lien de subordination existe avec son employeur. Ce lien de subordination sert parfois d'indice pour prouver l'existence d'un contrat de travail, notamment lorsque la personne qui s'en prévaut est associée d'une société…


Le lien de subordination : dépendant du contexte

Pour rappel, le lien de subordination est caractérisé par l'exécution d'un travail sous l'autorité d'un employeur, qui a le pouvoir de donner des ordres et des directives, d'en contrôler l'exécution et de sanctionner les manquements.

Ce lien de subordination peut être utilisé comme indice pour prouver l'existence d'un contrat de travail.

C'est précisément ce qu'a tenté de faire l'associé d'une société qui a vu la convention de rétribution dont il bénéficiait prendre fin au bout de quelques années, faute de renouvellement.

Dans cette affaire, l'associé estimait être lié à la société par un contrat de travail dès lors :

  • que son statut de travailleur indépendant lui avait été imposé ;
  • qu'il ne pouvait pas développer sa propre clientèle ;
  • etc.

Sauf qu'en sa qualité d'associé, il conservait une totale autonomie dans l'exercice de ses fonctions, constate le juge. Et en l'absence de lien de subordination, pas de contrat de travail !

Source : Arrêt de la Cour de cassation, chambre sociale, du 17 novembre 2021, n°20-11736

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01/12/2021

Coronavirus (COVID-19) et rappel de vaccination : les médecins du travail mis à contribution

A la suite de la reprise épidémique, le gouvernement vient d'annoncer l'ouverture à tous de la campagne de rappel vaccinal et à ce titre, la mobilisation de l'ensemble des professionnels de santé… Y compris les médecins du travail ?


Coronavirus (COVID-19) et vaccination : mobilisation des services de santé au travail

Pour mémoire, la campagne de rappel vaccinal contre la Covid-19 est ouverte à tous les Français de plus de 18 ans depuis le 27 novembre 2021. Le rappel doit être effectué au moins 5 mois après leur dernière injection.

Dans ce contexte, le gouvernement invite les services de santé au travail à s'organiser afin de permettre à un grand nombre de salariés d'avoir un accès facilité pour effectuer leur dose de rappel.

Source : Communiqué de presse du Ministère du Travail, du 30 novembre 2021 : COVID-19 : les services de prévention et de santé au travail mobilisés pour la campagne de rappel

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01/12/2021

Formalités des entreprises : quoi de neuf pour le répertoire SIRENE ?

La tenue du répertoire SIRENE fait l'objet de nouveaux aménagements, notamment relatifs à la mise en place de la plateforme ProConnect. De quoi s'agit-il exactement ?


Répertoire SIRENE : de nouveaux renseignements (bientôt) à fournir ?

Pour mémoire, l'INSEE tient un répertoire SIRENE (Système Informatique pour le Répertoire des Entreprises et des Etablissements) qui recense l'ensemble des entreprises établies en France et ce, quel que soit leur statut.

A compter du 1er janvier 2022, s'ajouteront aux renseignements devant être transmis, l'ensemble des informations permettant d'identifier les représentants légaux des personnes morales de type société et les personnes physiques inscrites au répertoire, notamment dans le but d'améliorer la communication avec eux par voie électronique.

Le but est d'assurer la mise en place de l'identité numérique des entreprises par le biais de la plateforme ProConnect, qui est l'équivalent de FranceConnect pour les particuliers.

Pour renforcer la lutte contre la fraude, il est également prévu que les données d'identité relatives aux personnes physiques soient complétées, dans l'objectif d'aligner le contenu du répertoire SIRENE sur celui du Répertoire national d'identification des personnes physiques (RNIPP).

Point important : notez qu'aucune de ces nouvelles informations ne sera accessible au public.

Enfin, il est prévu que les personnes physiques ayant des obligations fiscales spécifiques ont désormais l'obligation de s'inscrire au répertoire SIRENE. Plus précisément, sont concernés :

  • les particuliers employeurs qui collectent le prélèvement à la source ;
  • les loueurs en meublés non professionnels.

Source : Décret n° 2021-1500 du 17 novembre 2021 relatif à l'ajout de renseignements au répertoire national mentionné à l'article R. 123-220 du code de commerce

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01/12/2021

RGPD : quid des données de journalisation ?

Les outils de journalisation participent à la protection des données personnelles en enregistrant les activités des utilisateurs ainsi que les anomalies et les différents événements liés à la sécurité. Quelles sont les précautions à prendre concernant les données collectées dans le cadre de cette journalisation ?


Quelles précautions pour les données de journalisation ?

Pour mémoire, le traitement de données personnelles (c'est-à-dire leur collecte, leur stockage, leur utilisation, etc.) fait l'objet d'un encadrement légal strict destiné à préserver les droits des personnes qu'elles concernent.

Dans ce cadre, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) rappelle aux responsables de traitement de données qu'il est nécessaire de mettre en place un dispositif spécifique visant à enregistrer :

  • les activités des utilisateurs ;
  • les anomalies et les événements liés à la sécurité des données personnelles traitées (accès frauduleux, utilisation abusive de données personnelles, etc.).

Toutefois, les données collectées dans le cadre de ce dispositif de sécurité, appelées « données de journalisation », contiennent également des informations particulières (identifiants, équipement utilisé pour se connecter, etc.) nécessitant de prendre certaines précautions concernant, notamment, leur durée de conservation.

La CNIL précise, qu'en principe, la durée de conservation des données de journalisation doit être comprise entre 6 mois et 1 an. Cependant, certaines exceptions sont prévues. Ainsi :

  • la durée de conservation peut être plus longue lorsque la spécificité du traitement le justifie (par exemple dans le cas de l'existence d'une obligation légale de conservation, d'une finalité particulière, etc.) ; Dans ce cas, elle sera déterminée au cas par cas ;
  • les traitements faisant l'objet d'un contrôle en interne peuvent permettre une conservation des données pendant 3 ans maximum si le responsable justifie que cela est effectivement nécessaire.

Dans tous les cas, la mise en place d'un dispositif technique permettant de limiter les risques de détournement de ces données de journalisation est fortement conseillée.

Source : Communiqué de presse de la CNIL du 18 novembre 2021

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01/12/2021

Maison non conforme = maison à reconstruire ?

Parce que sa maison, construite par un professionnel du bâtiment, ne correspond pas à ce qui était convenu, un propriétaire en réclame la démolition et la reconstruction dans le respect strict du contrat. Une demande (dis)proportionnée ?


Une démolition pas si automatique que ça…

Un propriétaire fait appel à un constructeur pour l'édification de sa maison. Mais, au cours des travaux, un litige survient, les clauses initialement convenues n'étant pas respectées.

Concrètement :

  • des injections périphériques contre les remontées d'humidités ont été réalisées ;
  • la maison n'est pas construite sur un terre-plein, mais sur un vide sanitaire.

Une situation qui conduit le propriétaire à demander la démolition de la maison, puis sa reconstruction dans le strict respect du contrat.

Ce que conteste le constructeur : il a réalisé des injections périphériques sur préconisation d'un expert et dans les règles de l'art, pour qu'il n'y ait plus de problèmes d'humidité. Il a aussi dû construire la maison sur un vide sanitaire pour lutter contre les mêmes problèmes d'humidité. Et avec succès, puisque ces problèmes n'existent plus.

Un succès que constate aussi le juge, pour qui la demande de démolition du propriétaire est totalement disproportionnée.

Source : Arrêt de la Cour de cassation, 3e chambre civile, du 17 novembre 2021, n° 20-17218

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01/12/2021

La générosité entre collègues est-elle toujours acceptable ?

Un employeur demande à un salarié de solder ses jours de RTT avant la fin de l'année.

Le salarié, n'ayant pas l'utilité de ces jours, décide d'en faire don, anonymement, à un de ses collègues, parent d'un enfant dont le domicile se trouve à l'étranger.

L'employeur refuse ce don.

A tort ou à raison ?
La réponse n'est pas toujours celle que l'on croit...
La bonne réponse est...
A raison
Le don de jours de repos ne peut pas se faire à destination de n'importe quel collègue.

Le don est seulement possible pour les collègues ayant la qualité de proche aidant, ayant un enfant décédé, parent d'un enfant âgé de moins de 20 ans atteint d'une maladie, d'un handicap ou victime d'un accident d'une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants ou engagé à servir dans la réserve opérationnelle.
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30/11/2021

Fêtes de fin d'année : vers une hausse du montant des « chèques-cadeaux » ?

En 2020, en raison de la crise sanitaire, le gouvernement avait choisi de doubler le montant annuel de chèques-cadeaux versés aux salariés par le CSE ou l'employeur pouvant être exonéré de cotisations sociales. Ce dispositif a-t-il été reconduit en 2021 ?


Le plafond de l'exonération « chèque-cadeau » est fixé à 250 € !

Pour rappel, le Comité social et économique (CSE) de l'entreprise ou, en l'absence de CSE, l'employeur, peut offrir des cadeaux et bons d'achats aux salariés, dont le montant est par principe soumis à cotisations et contributions sociales.

Toutefois, il existe une tolérance administrative qui permet une exonération de cotisations et de contributions sociales dès lors que le montant global, au cours de la même année, n'excède pas 5 % du plafond mensuel de la Sécurité sociale (PMSS), soit 171,40 € pour 2021.

Pour faire face à la crise sanitaire, ce plafond avait exceptionnellement été augmenté pour atteindre 342,80 € en 2020. En raison de la prolongation des mesures sanitaires, ce plafond est également relevé pour 2021, mais à 250 € cette fois.

Source : Communiqué de presse du ministère de l'Économie, des finances et de la relance du 24 novembre 2021, n°1706, Renforcement du pouvoir d'achat - Augmentation exceptionnelle du plafond des chèques-cadeaux distribués aux salariés

Chèques-cadeaux : joyeux Noël et bonne année ! © Copyright WebLex - 2021

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