Actu juridique

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27/01/2022

Brevet européen : vos démarches bientôt simplifiées ?

Pour harmoniser les formalités et la règlementation en matière de brevet à l'échelle européenne, 2 nouveaux dispositifs vont bientôt voir le jour. Lesquels ?


Brevet européen : vers la fin d'une procédure complexe ?

Actuellement, lorsque l'on souhaite protéger son invention, on peut déposer un brevet national ainsi qu'un brevet européen.

Le problème, c'est que le titulaire d'un brevet européen doit ensuite le faire valider dans chaque pays dans lequel il souhaite bénéficier d'une protection de son innovation.

En outre, en cas de litige, il peut se voir contraint d'engager plusieurs actions juridiques dans différents pays.

Afin d'harmoniser cette règlementation, de réduire les coûts pour les inventeurs et de faciliter la défense de leurs droits en matière de brevet, 2 nouveautés vont bientôt voir le jour à l'échelle européenne :

  • la juridiction unifiée du brevet qui sera compétente en matière de contentieux concernant les brevets européens et les brevets à effet unitaire ;
  • le brevet européen à effet unitaire qui, contrairement au brevet européen, sera valable dans l'ensemble des pays qui auront signé l'accord, sans avoir besoin d'effectuer de formalités supplémentaires.

Notez que ces dispositifs sont encore en cours d'élaboration. Affaire à suivre…

Source : Communiqué de presse du ministère de l'économie et des finances du 20 janvier 2022

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27/01/2022

Simplification des déclarations administratives pour les entreprises

Pour simplifier les démarches administratives des entreprises, l'exigence de présentation d'un extrait d'immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers dans le cadre de certaines démarches est supprimée. Quelles sont les démarches concernées ?


Le numéro de Siret remplace l'extrait d'immatriculation

A partir du 27 janvier 2022, les entreprises ne sont plus tenues de fournir un extrait de leur immatriculation au registre du commerce et des sociétés (RNCS) ou au répertoire des métiers (RNM) pour certaines demandes ou déclarations auprès de l'administration, dont la liste est disponible ici.

A la place, elles devront fournir leur numéro unique d'identification délivré par l'INSEE (Siret).

Source : Arrêté du 4 janvier 2022 relatif à la suppression de l'exigence de présentation par les entreprises d'un extrait d'immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers dans leurs démarches administratives

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27/01/2022

Débitants de tabac : quels sont les départements « en difficulté » en 2022 ?

Des débitants de tabac peuvent bénéficier d'une aide financière spécifique, à condition d'être implantés dans un département « en difficulté ». La liste de ces départements vient de paraître pour l'année 2022. Verdict ?


Débitants de tabac : 4 départements « en difficulté » en 2022

Pour mémoire, les débitants de tabac situés dans des départements en difficulté peuvent bénéficier d'une aide financière. Cette aide peut prendre la forme d'une remise financière, d'indemnités de fin d'activité ou d'une prime de diversification d'activité.

Pour pouvoir y prétendre, il faut donc que le débit de tabac soit implanté dans un département qui doit figurer sur une liste établie, chaque année, par le gouvernement.

La liste pour 2022 vient de paraître et comprend les départements suivants :

  • les Ardennes ;
  • la Moselle ;
  • le Nord ;
  • le Bas-Rhin.

Source : Arrêté du 21 janvier 2022 constatant pour 2022 les départements en difficulté au titre des aides à l'activité pour les débitants de tabac

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26/01/2022

RGPD : qu'est-ce qu'une opération de RIFI ?

Une entreprise qui souhaite vérifier si les données qu'elle a collectées ont été rendues publiques par inadvertance ou malveillance peut faire appel à un prestataire pour effectuer une recherche sur Internet de fuites d'informations (RIFI). Quelles sont les conditions à respecter ?


RGPD et RIFI : les conditions à respecter

La recherche sur Internet de fuites d'informations (RIFI) est une technique d'analyse automatique du Web. Elle permet à un organisme de vérifier si les données qu'il a collectées ont été rendues publiques par inadvertance ou en raison d'un acte malveillant.

Cette opération porte donc sur l'analyse d'un important volume de données comprenant également des données personnelles. Pour cette raison, les prestataires effectuant une RIFI doivent impérativement respecter le Règlement général sur la protection des données (RGPD).

La commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) rappelle qu'il est important de répartir les rôles et responsabilités des acteurs intervenant dans le cadre de la RIFI. A titre d'exemple, l'entreprise qui effectue cette recherche par l'intermédiaire d'un prestataire reste seule responsable du traitement de données.

De plus, elle précise également les points importants sur lesquels les organismes et leurs prestataires doivent être particulièrement vigilants :

  • la RIFI doit être justifiée par un intérêt légitime ;
  • elle doit être nécessaire pour atteindre l'objectif souhaité et l'entreprise souhaitant recourir à cette technique doit montrer qu'elle ne dispose pas d'autres moyens moins intrusifs ;
  • la durée de conservation des données collectées dans le cadre de la RIFI doit être limitée ;
  • la mise en place de moyen permettant de ne collecter que les données pertinentes est nécessaire et aucune donnée sensible ne doit pouvoir être collectée grâce à la RIFI. Toutefois, si certaines de ces données sont quand même collectées, elles devront être supprimées sans tarder ;
  • les droits des personnes concernées doivent être respectés (droit à une information claire, droit de s'opposer à l'utilisation des données, droit de rectification des informations inexactes, etc.).

Source : Communiqué de presse de la CNIL du 11 janvier 2022

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26/01/2022

Papiers, cartons, terres naturelles : quels critères pour pouvoir les recycler ?

Les déchets de papiers et de cartons, ainsi que les déblais de terres naturelles, peuvent bénéficier d'un protocole de sortie de statut de déchets afin de ne plus être considérés comme tels et d'être réutilisés et recyclés. Sous quelles conditions ?


Economie circulaire : les conditions de sortie du statut de déchet

Pour mémoire, la sortie du statut de déchet permet à certains déchets de ne plus être considérés comme tels après avoir subi une opération de valorisation ou de recyclage.

Pour pouvoir effectuer ce type de traitement, les professionnels concernés doivent s'assurer du respect de certains critères qui varient en fonction de la nature des déchets.

Récemment, des précisions ont été apportées concernant les conditions de sortie du statut de déchets des papiers et cartons, ainsi que des déblais de terres naturelles.

  • Concernant les papiers et cartons

Pour pouvoir sortir du statut de déchet, les papiers et cartons récupérés et triés doivent notamment :

  • ne pas contenir de matériaux représentant un danger pour la santé, la sécurité et l'environnement ;
  • avoir subi un processus de tri spécifique (tri à sec, retrait des composants non papiers, etc.) et être conditionnés selon certaines conditions (en balle ou en vrac selon les spécifications clients) ;
  • respecter certains critères : taux d'humidité, conformité à une norme NF spécifique, taux de produits alimentaires minimum, etc. ;
  • être identifiés par un numéro unique pour assurer leur traçabilité et pouvoir justifier de leur statut.

Vous pouvez retrouver l'intégralité des conditions à respecter ici, applicables depuis le 20 décembre 2021.

  • Concernant les déblais de terres naturelles

Pour pouvoir sortir du statut de déchet, les déblais de terres naturelles doivent notamment :

  • être composés de terres, de cailloux et/ou de pierres ;
  • ne pas être dangereux et ne pas provenir d'un site ou de sols pollués ;
  • ne pas avoir subi de désintégration ou dissolution significative, ni aucune autre modification de nature à produire des effets néfastes sur l'environnement ou la santé ;
  • être déposés sur un site respectant des critères précis (destinés à un grand projet d'aménagement ou d'infrastructure, les déchets doivent être compatibles avec son usage futur sur le plan sanitaire, etc.) ;
  • être identifiés par un numéro unique, et la zone d'excavation doit être référencée.

Vous pouvez retrouver l'intégralité des conditions à respecter ici, applicables depuis le 6 janvier 2022.

  • Arrêté du 13 décembre 2021 fixant les critères de sortie du statut de déchet pour les papiers cartons récupérés et triés
  • Arrêté du 21 décembre 2021 fixant les critères de sortie du statut de déchet pour les aménagements constitués de déblais de terres naturelles excavées et gérées au sein d'un grand projet d'aménagement ou d'infrastructure

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25/01/2022

Création d'une plateforme de référencement et de prise en charge des malades chroniques de la covid-19

Dans le cadre du suivi à long terme des malades chroniques de la covid-19, il a été décidé de créer une plateforme référençant ces malades. A quoi va-t-elle concrètement servir ?


Mode d'emploi de cette nouvelle plateforme

Afin de mieux accompagner les personnes touchées par la covid-19, une plateforme de suivi est mise en place.

Elle peut se décliner sous toutes les formes proposées par les technologies (site Web et appli mobile). Elle permet à tous les patients qui le souhaitent de se faire référencer comme souffrant ou ayant souffert de symptômes post-covid. Son accès est gratuit.

Après traitement des déclarations enregistrées sur la plateforme de suivi, les personnes, majeures ou mineures, ayant des symptômes persistants de la covid-19 sont prises en charge soit par leur médecin traitant dans le cadre d'un protocole déterminé, soit dans une unité de soins post-covid pour les malades atteints de pathologies plus lourdes.

Les analyses et les soins liés à la covid-19 et remboursés par l'Assurance maladie sont couverts intégralement, dans la limite des tarifs de responsabilité.

Source : Loi n° 2022-53 du 24 janvier 2022 visant à la création d'une plateforme de référencement et de prise en charge des malades chroniques de la covid-19

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25/01/2022

Variétés rendues tolérantes aux herbicides (VRTH) : encadrement à venir ?

L'utilisation de variétés de plantes rendues tolérantes aux herbicides, ce que l'on appelle les VRTH, fait aujourd'hui débat, notamment à cause du manque de réglementation en la matière. Une lacune que le gouvernement entend bien réparer…


Variétés rendues tolérantes aux herbicides (VRTH) : pose des premiers jalons juridiques

En France, les variétés rendues tolérantes aux herbicides (VRTH) sont principalement le colza et le tournesol.

Mais, leur utilisation fait l'objet de débats et de controverses entre pro-VRTH et anti-VRTH.

Des enquêtes de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) ont mis en évidence la faible réglementation en matière de VRTH et les nombreuses limites empêchant de mener à bien des analyses scientifiques pertinentes.

Pour remédier à cela, le gouvernement a posé les premières bases d'une réglementation plus ferme, consultables ici.

Notez que cette réglementation va faire l'objet de précisions ultérieures. Affaire à suivre…

Sources :

  • Rapport au Président de la République relatif à l'ordonnance n° 2021-1659 du 15 décembre 2021 relative aux variétés rendues tolérantes aux herbicides
  • Ordonnance n° 2021-1659 du 15 décembre 2021 relative aux variétés rendues tolérantes aux herbicides

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25/01/2022

Coronavirus (COVID-19) : un PGE prolongé ?

Le gouvernement était dans l'attente d'une décision des instances européennes pour prolonger le dispositif du prêt garanti par l'Etat (PGE) jusqu'au 30 juin 2022. Cette décision est finalement parue. Va-t-elle dans le sens du gouvernement ?


Coronavirus (COVID-19) : une prolongation du PGE validée

Suite à la validation des instances européennes, le gouvernement a acté la prolongation du prêt garanti par l'Etat (PGE) jusqu'au 30 juin 2022.

De même, il est désormais prévu que les concours totaux apportés par l'établissement prêteur ou par un même intermédiaire en financement participatif à l'entreprise concernée ne doivent pas avoir diminué, lors de l'octroi de la garantie :

  • par rapport au niveau qui était le leur au 16 mars 2020, dans le cas où cet octroi intervient avant le 1er janvier 2021 ;
  • ou par rapport au niveau qui était le leur au 31 décembre 2020, dans le cas où cet octroi intervient entre le 1er janvier 2021 et le 31 décembre 2021 ;
  • ou par rapport au niveau qui était le leur au 31 décembre 2021, dans le cas où l'octroi intervient à compter du 1er janvier 2022.

Par ailleurs, sachez que le PGE est désormais ouvert à toutes les associations employeuses.

Enfin, un accord a été signé entre le gouvernement et la Banque de France permettant de réaménager les PGE de faibles montants, au terme d'une procédure confidentielle, gratuite et non-judiciaire. Cette procédure va permettre de maintenir gratuitement la garantie de l'Etat sur les PGE au-delà de 6 années.

Sources :

  • Arrêté du 19 janvier 2022 portant modification de l'arrêté du 23 mars 2020 accordant la garantie de l'Etat aux établissements de crédit et sociétés de financement en application de l'article 6 de la loi n° 2020-289 de finances rectificative pour 2020
  • Communiqué de presse du ministère de l'Economie du 20 janvier 2022, n° 1916

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25/01/2022

Environnement : du nouveau concernant la traçabilité des déchets !

Des précisions viennent d'être apportées concernant les informations à fournir lors de l'établissement des bordereaux dématérialisés de suivi des déchets dangereux, des déchets POP et des déchets radioactifs. Lesquelles ?


Traçabilité des déchets : des bordereaux dématérialisés

Pour mémoire, la règlementation prévoit que toute personne qui produit, collecte, reconditionne ou transforme, etc., des déchets dangereux, des déchets POP (polluants organiques persistants) ou des déchets radioactifs doit émettre un bordereau qui accompagne les déchets à chaque étape de leur parcours et est complété au fur et à mesure par les différents prestataires.

Depuis le 1er janvier 2022, ces bordereaux sont dématérialisés grâce à la mise en place, par le gouvernement, d'un système de gestion des bordereaux de suivi des déchets via la plateforme : https://trackdechets.beta.gouv.fr/.

Dans le cadre de cette déclaration, certaines informations doivent être renseignées concernant, par exemple :

  • l'émetteur du bordereau (identité du producteur, collecteur, etc.) ;
  • la nature, le conditionnement et la quantité de déchets (consistance des déchets, type de conditionnement, etc.) ;
  • l'origine des déchets (lieu de collecte) ;
  • l'installation de destination (entreposage provisoire, installation destinée à les reconditionner, etc.) ;
  • les modalités de transport des déchets (mode de transport, date de prise en charge, etc.).

Source : Arrêté du 21 décembre 2021 définissant le contenu des déclarations au système de gestion électronique des bordereaux de suivi de déchets énoncés à l'article R. 541-45 du code de l'environnement

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25/01/2022

Réutilisation des données personnelles par un sous-traitant : mode d'emploi

En principe un sous-traitant ne peut pas réutiliser les données personnelles collectées par son client pour son propre compte…Mais en réalité, une réutilisation est possible dans le cadre de la création ou de l'amélioration de ses services ou produits. Si certaines conditions sont remplies…


Réutilisation des données par un sous-traitant : sur autorisation

En principe, un sous-traitant ne peut pas réutiliser les données personnelles collectées par un client pour son propre compte. A défaut, il encourt des sanctions financières.

Il peut toutefois valablement réutiliser ces données pour son propre compte dans certaines situations.

Pour cela, un « test de compatibilité » doit être mené : en clair, il s'agit de vérifier si le traitement que le sous-traitant compte opérer est compatible avec la finalité pour laquelle les données ont été initialement collectées. Notez qu'une autorisation préalable et générale de réutilisation des données est illégale.

Si le test n'est pas concluant, le client doit refuser de donner son autorisation à la réutilisation des données. A l'inverse, s'il le test est satisfait, il sera libre de donner ou non son accord, par l'intermédiaire d'un écrit.

Une fois l'accord obtenu, le client doit informer personnellement ou par l'intermédiaire du sous-traitant, les personnes dont les données sont réutilisées, celles-ci ayant la possibilité de s'y opposer.

Pour finir, retenez qu'en réutilisant les données de son client, le sous-traitant devient lui-même un « responsable de traitement », au regard de la Réglementation Générale sur la Protection des Données (RGPD). Il est donc astreint à son respect.

Source : Actualité de la Cnil du 12 janvier 2022

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24/01/2022

Don du sang : un accès facilité pour les personnes homosexuelles

A partir du 16 mars 2022, les références à l'orientation sexuelle de la personne seront supprimées du questionnaire préalable au don du sang et remplacées par des questions relatives à une éventuelle exposition au VIH. Revue de détails…


La fin d'une discrimination entre les Français pour le don du sang ?

De 1983 à 2016, les hommes homosexuels ne pouvaient pas donner leur sang.

Depuis juillet 2016, ils pouvaient le faire, mais seulement en cas d'abstinence sexuelle pendant 1 an, puis de 4 mois à partir de 2019.

Désormais, dès le 16 mars 2022, les références à l'orientation sexuelle du donneur seront supprimées du questionnaire préalable au don du sang ;

A la place ont été ajoutées :

  • 2 questions concernant la prise de traitement pré ou post-exposition au VIH, reportant le don de 4 mois en cas d'exposition.
  • ainsi qu'une mise à jour de la liste des médicaments interdisant le don du sang.

Source : Arrêté du 11 janvier 2022 modifiant l'arrêté du 17 décembre 2019 fixant les critères de sélection des donneurs de sang

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24/01/2022

Coronavirus (COVID-19) et autotests : prolongation de l'autorisation de vente pour les grandes surfaces

La vente d'autotests dans les commerces et grandes surfaces, autorisée jusqu'au 31 janvier 2022, vient d'être prolongée. Jusqu'à quand ?


Coronavirus (COVID-19) : prolongation des nouvelles conditions de vente d'autotests

Depuis début janvier 2022, les autotests sont exceptionnellement autorisés à la vente dans les commerces et les grandes surfaces, afin de les rendre plus accessibles et d'accroître les dépistages face à la forte progression de l'épidémie de coronavirus (COVID-19).

Cette autorisation temporaire, qui avait été mise en place jusqu'au 31 janvier 2022, vient d'être prolongée jusqu'au 15 février 2022.

Pour rappel, ces autotests sont uniquement destinés aux personnes ne présentant pas de symptômes de contamination à la COVID-19 et un guide d'utilisation doit obligatoirement être fourni aux acheteurs.

Source : Arrêté du 21 janvier 2022 modifiant l'arrêté du 1er juin 2021 prescrivant les mesures générales nécessaires à la gestion de la sortie de crise sanitaire

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