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11/05/2021

Cotisations sociales des non-salariés agricoles : les formulaires de déclaration sont disponibles !

Les imprimés permettant aux non-salariés agricoles et aux cotisants de solidarité de déclarer leurs revenus professionnels pour le calcul de leurs cotisations sociales sont disponibles. Où pouvez-vous les trouver ?


Des formulaires à récupérer auprès de la MSA

Depuis le 3 mai 2021, les imprimés permettant aux non-salariés agricoles et aux cotisants de solidarité de déclarer leurs revenus professionnels peuvent être retirés auprès des caisses de mutualité sociale agricole (MSA).

Sont concernées :

  • la déclaration d'ensemble des revenus de l'année 2020 (Cerfa 10053*22) et sa notice explicative (Cerfa 50821#21) ;
  • la déclaration des revenus professionnels de l'année 2020 - feuille annexe de calcul (Cerfa 10781*22) ;
  • et la déclaration des revenus professionnels de l'année 2020 - déclaration des revenus de l'année 2020 perçus dans une société à l'impôt sur les sociétés par le chef d'exploitation ou d'entreprise agricole et par les membres de sa famille associés non participants (Cerfa 15070*08).

Source : Arrêté du 28 avril 2021 fixant les modèles d'imprimés à utiliser pour l'application des articles L. 731-14 à L. 731-23 du code rural et de la pêche maritime

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11/05/2021

Jeunes agriculteurs : quel accompagnement pour réduire votre impact écologique ?

Pour permettre aux agriculteurs nouvellement installés d'exercer leur activité tout en construisant une stratégie carbone adaptée, le Gouvernement à mis en place un dispositif appelé « bon diagnostic carbone ». De quoi s'agit-il ?


Agriculture : qu'est-ce que le dispositif « bon diagnostic carbone » ?

Le secteur de l'agriculteur joue un rôle important en matière de lutte contre le réchauffement climatique. C'est pour cette raison que le dispositif « bon diagnostic carbone » a été mis en place.

Celui-ci permet aux jeunes agriculteurs, installés depuis moins de 5 ans, d'être accompagnés dans la construction de leur stratégie carbone et ainsi d'obtenir :

  • un diagnostic de réduction des émissions de gaz à effet de serre ;
  • un diagnostic de potentiel de stockage de carbone de l'exploitation ;
  • un plan d'actions à mener pour favoriser leur engagement dans la lutte contre le changement climatique ;
  • un accompagnement dans la réalisation de ce plan d'actions.

Pour pouvoir bénéficier de ce diagnostic, l'agriculteur doit en faire la demande auprès d'un organisme agréé par l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (ADEME) dont la liste est disponible ici.

Le coût du diagnostic est pris en charge à 90 % par le Gouvernement : cette contribution est directement payée à l'organisme pour éviter à l'agriculteur d'effectuer une avance et ainsi préserver sa trésorerie.

Enfin, ce dispositif permet aux exploitants de valoriser financièrement leur engagement pour le climat. Une fois le diagnostic effectué il peut en effet engager des démarches pour obtenir le label « Bas-Carbone » et ainsi percevoir une rétribution pour ses efforts et ses services rendus.

Source : Communiqué de presse du Ministère de l'agriculture et de l'alimentation du 30 avril 2021

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11/05/2021

Transporteurs et permis de conduire : une nouveauté concernant l'âge requis

La règlementation applicable à la conduite de véhicule de transport de voyageurs vient d'être réaménagée concernant l'âge requis pour la conduite de certains véhicules. Revue de détails…


Du nouveau en matière de formation professionnelle des conducteurs

Pour mémoire, tout conducteur de véhicules de transport de personnes comportant plus de 8 places assises (en plus du siège du conducteur) est soumis à une obligation de formation professionnelle, qui peut revêtir un format accéléré ou long.

La qualification initiale qui est obtenue à l'issue d'une formation professionnelle longue permet, depuis le 3 mai 2021, à son titulaire de conduire :

  • dès l'âge de 21 ans, les véhicules pour la conduite desquels un permis de conduire des catégories D1 ou D1E est requis, lorsqu'il s'agit d'une formation de conducteurs de transport de voyageurs ; notez que cet âge est ramené à 18 ans pour les véhicules conduits exclusivement sur le territoire national ;
  • dès l'âge de 21 ans, les véhicules pour la conduite desquels un permis de conduire des catégories D ou DE est requis, lorsqu'il s'agit d'une formation de conducteurs de transport de voyageurs ; notez que cet âge est abaissé à :
  • ○ 20 ans, pour les véhicules conduits exclusivement sur le territoire national ;
  • ○ 18 ans lorsque ces véhicules sont conduits exclusivement sur le territoire national et à condition qu'ils circulent sans passager ou que le conducteur exécute des services réguliers dont le parcours de ligne ne dépasse pas 50 km.

Cette dernière possibilité ne s'applique aux opérations de transports scolaires qu'à la condition que le conducteur bénéficie de mesures complémentaires d'accompagnement prises en charge par son employeur.

Source : Décret n° 2021-542 du 30 avril 2021 abaissant l'âge minimal pour la conduite de certains véhicules lourds de transport en commun par des personnes ayant bénéficié d'une formation spécifique

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10/05/2021

RGPD : quoi de neuf pour la protection des données en mai 2021 ?

Dans le cadre du Règlement européen pour la protection des données (RGPD), la CNIL a établi une liste de traitements de données pour lesquels une analyse d'impact relative à la protection des données (AIPD) était requise. Les responsables de traitement des données pouvaient, dans certains cas, être dispensés de cette analyse. Une dispense qui prend fin….


Analyse d'impact des traitements des données : fin des cas de dispense au 25 mai 2021

Pour rappel, en matière de protection des données, les responsables de traitement de données doivent, en principe, effectuer une analyse de l'impact des opérations de traitement envisagées sur la protection des données à caractère personnel (AIPD), lorsqu'elles peuvent engendrer un risque élevé pour les droits et libertés des personnes, notamment :

  • par le recours aux nouvelles technologies ;
  • compte tenu de la nature, du contexte et des finalités du traitement.

Ainsi, une AIPD est requise dans les cas suivants :

  • évaluation systématique et approfondie d'aspects personnels concernant des personnes physiques fondée sur un traitement automatisé, y compris le profilage, sur la base de laquelle sont prises des décisions produisant des effets juridiques à l'égard de ces personnes ou les affectant de manière significative ;
  • traitement à grande échelle de catégories particulières de données, ou de données à caractère personnel relatives à des condamnations pénales et à des infractions ;
  • surveillance systématique à grande échelle d'une zone accessible au public.

La liste des opérations de traitement pour lesquelles une AIPD est requise est disponible auprès de la CNIL.

Cette AIPD doit, au minimum comporter :

  • une description systématique des opérations de traitement envisagées et des finalités du traitement, y compris, le cas échéant, l'intérêt légitime poursuivi par le responsable du traitement ;
  • une évaluation de la nécessité et de la proportionnalité des opérations de traitement au regard des finalités ;
  • une évaluation des risques pour les droits et libertés des personnes concernées ;
  • les mesures envisagées pour faire face aux risques, y compris les garanties, mesures et mécanismes de sécurité visant à assurer la protection des données à caractère personnel et à apporter la preuve du respect du RGPD (Règlement européen pour la protection des données), compte tenu des droits et des intérêts légitimes des personnes concernées et des autres personnes affectées.
  • Une dispense ?

La réalisation d'une telle analyse d'impact, en principe obligatoire depuis le 25 mai 2018, n'était cependant pas exigée dans certains cas :

  • traitements ayant fait l'objet d'une formalité préalable auprès de la CNIL avant le 25 mai 2018, ou qui étaient dispensés de formalité ;
  • traitements ayant été consignés au registre d'un correspondant « informatique et libertés ».

Cette dispense, d'une durée de 3 ans, arrive à sa fin.

En conséquence, à compter du 25 mai 2021, toute personne responsable du traitement des données devra effectuer cette analyse si le traitement envisagé est susceptible d'engendrer un risque élevé pour les droits et libertés des personnes.

Source :

  • Règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/CE, (article 35 )
  • Cnil.fr, 22 septembre 2019 : Ce qu'il faut savoir sur l'analyse d'impact relative à la protection des données (AIPD)

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10/05/2021

Agriculture : une nouvelle aide pour la filière des protéines végétales

Le Gouvernement a lancé un plan en faveur de la production des protéines végétales pour améliorer l'autonomie de la France et ainsi réduire les importations dans ce domaine. Une nouvelle aide vient, à ce sujet, d'être annoncée dans le cadre de ce dispositif pour accompagner les investissements d'agroéquipements…


Agriculture : un dispositif d'aides à l'acquisition d'agroéquipements reconduit !

Un plan « protéines végétales » a été lancé en janvier 2021 pour réduire les importations de ces protéines, encourager les Français à en consommer plus et améliorer l'autonomie des éleveurs concernant l'alimentation de leurs animaux.

Les actions menées ont notamment pour objectif de :

  • soutenir les actions de recherche et d'innovation permettant la mise au point de solutions pertinentes d'un point de vue économique, environnemental et nutritionnel ;
  • accompagner les investissements matériels des producteurs de protéines végétales et des éleveurs ;
  • aider à la promotion des légumineuses auprès des consommateurs.

Dans le cadre de ce dispositif, le Gouvernement vient d'annoncer la création d'une nouvelle aide permettant l'acquisition d'agroéquipements pour la culture des oléaprotéagineux mais également pour les sursemis de légumineuses fourragères.

Les demandes permettant de bénéficier de cette aide pourront être déposées à compter du 17 mai 2021.

Source : Communiqué de presse du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation du 28 avril 2021

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10/05/2021

Dirigeants de société : et si votre mandat a expiré ?

Parce qu'elle s'estime victime d'une révocation fautive, la présidente d'une SAS réclame le paiement d'une indemnisation. Sauf, rétorque l'associé unique, qu'elle n'est (justement) plus présidente de la SAS… et que cela change tout…


Président de SAS : si, et seulement si…

L'associé unique d'une SAS nomme, pour une durée de 3 ans, une présidente à la tête de la société, dont les statuts prévoient que la révocation fautive doit donner lieu au versement d'une indemnisation.

A l'expiration du délai de 3 ans, le mandat de la présidente cesse, sans que l'associé unique ne le renouvelle. Mais celle-ci continue malgré tout d'occuper ses fonctions et décide, peu de temps après, de réclamer une indemnisation à la suite de la révocation fautive de son mandat.

« Sauf que cette indemnisation est réservée à la présidente de la SAS nommée par l'assemblée générale », rétorque l'associé unique, et que ce n'est plus le cas de l'ancienne dirigeante ici, dont le mandat est arrivé à expiration sans être renouvelé.

Ce que confirme le juge, qui rappelle que l'indemnisation due en cas de révocation abusive ne peut être octroyée qu'au président de SAS dont le mandat est toujours en cours de validité (appelé « dirigeant de droit »).

Ici, le mandat de la présidente n'a pas été renouvelé par les associés et l'ex-dirigeante, qui a continué à exercer ses fonctions en qualité de « dirigeante de fait », ne peut pas prétendre que celui-ci a été tacitement reconduit.

Par conséquent, elle ne peut obtenir l'indemnisation réclamée…

Source : Arrêt de la Cour de cassation, chambre commerciale, du 17 mars 2021, n° 19-14525

Dirigeants de société : « après l'heure, c'est plus l'heure » © Copyright WebLex - 2021

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10/05/2021

Coronavirus (COVID-19) : l'aide à la numérisation pour les associations

Pour permettre aux petites entreprises et aux associations d'investir dans le numérique et ainsi accroître leur visibilité dans le cadre de la crise sanitaire, une aide à la numérisation a été mise en place. Le Gouvernement précise les critères d'éligibilité des associations. Que faut-il retenir ?


Coronavirus (COVID-19) et aide à la numérisation : les critères d'éligibilité des associations

Pour rappel, un dispositif de soutien a été mis place pour soutenir certaines entreprises et associations de moins de 11 salariés ayant engagé un minimum de 450 € de dépenses en faveur de leur transition numérique dans le cadre de la crise sanitaire.

Les dépenses concernées sont les suivantes :

  • achat ou abonnement à des solutions numériques auprès d'une entreprise de services du numérique établie en France ou dans un Etat membre de l'Union européenne ;
  • accompagnement à la numérisation par une entreprise identifiée par un numéro SIRET ou un numéro de TVA intracommunautaire et référencée sur le téléservice mis en œuvre par l'Agence de services et de paiement (ASP).

Notez que les associations souhaitant bénéficier de cette aide doivent respecter les critères suivants :

  • être assujetties aux impôts commerciaux ou employer au moins 1 salarié ;
  • avoir débuter leur activité avant le 30 octobre 2020 ;
  • être à jour de leurs obligations sociales et fiscales ;
  • avoir un chiffre d'affaires annuel ou un total de bilan n'excédant pas 2 M€ hors taxes.

Source : Communiqué de presse du Ministère de l'économie du 7 mai 2021

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10/05/2021

Formation professionnelle : du nouveau concernant la rémunération des stagiaires

Les modalités de calcul de la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle viennent d'être simplifiées, et le montant de cette rémunération revalorisée. Qu'en est-il ?


Précisions relatives à la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle…

Le gouvernement vient de préciser les modalités de rémunération des stagiaires de la formation professionnelle et de détermination des taux et des montants de ces rémunérations, en procédant notamment à une revalorisation.

L'ensemble de ces dispositions s'appliquent aux personnes débutant un stage à compter du 1er mai 2021, sans qu'elles ne puissent s'appliquer aux rémunérations des personnes qui, au 1er mai 2021, suivent déjà un stage de formation professionnelle.

  • Montant

Les travailleurs non-salariés et les personnes à la recherche d'un emploi perçoivent, lorsqu'elles suivent un stage de formation agréé au titre de la rémunération des stagiaires, une rémunération mensuelle fixée à :

  • 200 € lorsqu'elles sont âgées de moins de 18 ans à la date de leur entrée en stage (178 € à Mayotte) ;
  • 500 € lorsqu'elles sont âgées de 18 à 25 ans à la date de leur entrée en stage ;
  • 685 € lorsqu'elles sont âgées de 26 ans ou plus à la date de leur entrée en stage (609 € à Mayotte).

Certains stagiaires de la formation professionnelle peuvent également percevoir une rémunération mensuelle fixée à 685 € (609 € à Mayotte). Il s'agit :

  • des personnes veuves, divorcées, séparées ou célibataires et qui assument seules la charge effective et permanente d'un ou plusieurs enfants résidant en France ;
  • des femmes seules âgées de moins de 26 ans en état de grossesse ayant effectué la déclaration de grossesse et les examens prénataux prévus par la loi ;
  • des personnes âgées de moins de 26 ans ayant eu 3 enfants ;
  • les personnes âgées de moins de 26 ans divorcées, veuves ou séparées judiciairement depuis moins de 3 ans.

Ces rémunérations, à l'exception de celles des personnes effectuant leur stage à temps partiel (voir infra), sont calculées ou arrêtées à la date d'ouverture du stage et incluent les indemnités compensatrices de congés payés.

Pour information, les stagiaires de la formation professionnelle relevant de l'administration pénitentiaire à l'extérieur de l'établissement en régime de semi-liberté ou de placement extérieur bénéficient des modalités de rémunération selon les mêmes conditions.

  • Temps partiel

La rémunération de la personne en recherche d'emploi et du travailleur non salarié qui suivent à temps partiel un stage agréé est égale, pour chaque heure de stage, à la rémunération mensuelle qu'elles auraient perçue pour un stage à temps complet divisée par 151,67.

Lorsque le montant de cette rémunération est inférieur au montant mensuel de l'allocation de solidarité spécifique (montant journalier égal à 16,91 € pour 2021), due pour travailleurs privés d'emploi qui ont épuisé leurs droits à l'allocation d'assurance et qui satisfont à des conditions d'activité antérieure et de ressources, il est au minimum porté au montant qui aurait été dû au titre de cette allocation.

  • Versement d'un acompte

Les personnes en recherche d'emploi suivant un stage rémunéré bénéficient d'un acompte d'un montant de 685 € (609 € à Mayotte), en fonction de leur salaire antérieur et au montant de la rémunération mensuelle pour le travailleur non salarié qui suit un stage.

  • Travailleurs handicapés ayant au préalable exercé une activité rémunérée

La rémunération due aux travailleurs handicapés en recherche d'emploi, ayant exercé une activité salariée pendant 6 mois au cours d'une période de 12 mois ou pendant 12 mois au cours d'une période de 24 mois est établie en fonction du salaire perçu antérieurement, dans les limites des montants minimum (685 €) et maximum (1 932,52 €). Pour Mayotte, ces montants sont respectivement fixés à 609 € et 1 720 €.

Cette rémunération est calculée selon la durée légale de travail, à partir de la moyenne des salaires perçus pendant la durée d'activité de 6 mois ou de 12 mois considérée. Les majorations pour heures supplémentaires, les indemnités compensatrices de congé payé et de préavis, ainsi que les primes et indemnités qui ne sont pas retenues pour le calcul des cotisations sociales n'entrent pas dans le décompte des salaires perçus.

Lorsque l'interruption du travail est antérieure depuis plus d'un an à l'entrée en stage, le salaire perçu dans le dernier emploi est affecté d'un coefficient de revalorisation correspondant aux majorations du salaire minimum de croissance au cours de la période considérée.

De même, la rémunération mensuelle est fixée à 685 € (609 € à Mayotte), pour les personnes suivantes, suivant un stage de formation agréé :

  • travailleurs handicapés en recherche d'emploi n'ayant pas exercé au préalable une activité salariée au cours de la période considérée ;
  • travailleurs handicapés à la recherche d'un premier emploi.
  • Travailleurs victimes d'un accident du travail

Les travailleurs salariés en attente de réinsertion ou en instance de reclassement à la suite d'un accident du travail ou d'une maladie professionnelle et qui suivent un stage agréé par l'Etat ou une région perçoivent une rémunération mensuelle égale à leur salaire antérieur, pouvant aller de 685 € à 1 932,52 € (609 € à 1 720 € à Mayotte).

Cette rémunération est calculée selon la durée légale du travail à partir de la moyenne des salaires perçus pendant la durée d'activité (6 ou 12 derniers mois). Les majorations pour heures supplémentaires, les indemnités compensatrices de congé payé et de préavis ainsi que les primes et indemnités qui ne sont pas retenues pour le calcul des cotisations sociales n'entrent pas dans le décompte des salaires perçus.

Lorsque l'interruption du travail est antérieure depuis plus d'un an à l'entrée en stage, le salaire perçu dans le dernier emploi est affecté d'un coefficient de revalorisation correspondant aux majorations du salaire minimum de croissance au cours de la période considérée.

  • Stagiaires de moins de 30 ans

De même, viennent d'être précisées les modalités de rémunération applicables aux jeunes de moins de 30 ans qui effectuent :

  • un stage d'accompagnement, d'insertion professionnelle, d'orientation ou d'appui à la définition d'un projet professionnel ;
  • un stage d'initiation, de formation ou de complément de formation professionnelle dans le cadre d'un programme national organisé et financé par l'Etat destiné à répondre à un besoin additionnel de qualification au profit de jeunes sortis du système scolaire sans qualification ou à la recherche d'emploi disposant d'un niveau de qualification inférieur ou égal au baccalauréat.

Ainsi, à compter du 1er mai 2021, le système de rémunération de ces stagiaires est simplifié et revalorisé, pour la 1re fois depuis 1988. 3 catégories de rémunération sont prévues, selon l'âge du stagiaire :

  • 200 € par mois pour tous les stagiaires de la formation professionnelle âgés de 16 à 18 ans (contre 130 € jusqu'à présent) ;
  • 500 € par mois pour tous les stagiaires de la formation âgés de 18 à 25 ans révolus (contre un peu plus de 300 € auparavant) ;
  • 685 € par mois pour tous les stagiaires de la formation de plus de 26 ans (contre une rémunération de 401 € ou 652 € selon les cas, jusqu'à présent).

Le versement de cette rémunération, déterminée sur une base mensuelle, est assurée par l'Agence de services et de paiement (ASP).

Les rémunérations versées ainsi que, le cas échéant, les sommes payées au titre des cotisations de sécurité sociale afférentes à ces rémunérations font l'objet de retenues proportionnelles à la durée des absences non justifiées aux stages concernés.

Le recouvrement des sommes indûment versées est opéré par l'ASP qui pourra accorder, lorsque la situation du débiteur le justifie, une remise partielle ou totale de dette.

  • Taux de remboursement par l'Etat

Le taux de remboursement par l'Etat de la rémunération maintenue aux stagiaires par leurs employeurs ne peut dépasser :

  • 50 % dans le cas de création d'emplois ou de modification du processus de production ;
  • 70 % dans le cas de réduction d'effectif ou de cessation d'activité.

Dans le cas des conventions prévoyant le financement d'une action d'adaptation au poste de travail ou d'une action de formation par le Fonds national de l'emploi, le taux de remboursement ne peut dépasser :

  • 50 % pour les actions d'adaptation ;
  • 70 % pour les actions de formation.

Source :

  • Décret n° 2021-522 du 29 avril 2021 fixant les taux et les montants des rémunérations versées aux stagiaires de la formation professionnelle
  • Décret n° 2021-521 du 29 avril 2021 relatif à la simplification des modalités de rémunération des stagiaires de la formation professionnelle et des stagiaires effectuant divers stages mentionnés à l'article 270 de la loi n° 2020-1721 du 29 décembre 2020 de finances pour 2021
  • Communiqué de presse du Ministère du travail, du 30 avril 2021 : #1jeune1solution | Revalorisation de la rémunération des stagiaires de la formation professionnelle

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07/05/2021

Coronavirus (COVID-19) : élargissement de l'aide exceptionnelle pour la numérisation

Une aide exceptionnelle est versée aux petites entreprises engagées dans une démarche de numérisation. Ses modalités d'octroi viennent d'être réaménagées : sur quels points ?


Coronavirus (COVID-19) et aide exceptionnelle à la numérisation : sous quelles conditions ?

Pour mémoire, une aide exceptionnelle de 500 € a été mise en place pour soutenir certaines entreprises qui ont engagé des dépenses relatives à :

  • l'achat ou l'abonnement à des solutions numériques auprès d'une entreprise de services du numérique établie en France ou dans un Etat membre de l'Union européenne ;
  • l'accompagnement à la numérisation par une entreprise identifiée par un numéro SIRET ou un numéro de TVA intracommunautaire et référencée sur le téléservice mis en œuvre par l'Agence de services et de paiement (ASP).

Les dépenses engagées doivent relever des thèmes suivants :

  • vente, promotion - site e-commerce ou promotionnel ;
  • vente, promotion - contenus ;
  • vente, promotion - paiement en ligne ;
  • vente, promotion - place de marché ;
  • vente, promotion - visibilité internet ;
  • gestion - solution de réservation, prise de rendez-vous ;
  • gestion - gestion des stocks, des commandes, des livraisons ;
  • gestion - logiciel de caisse ;
  • gestion - hébergement, stockage de données, gestion du nom de domaine, outils de cybersécurité ;
  • relation clients - gestion des clients ;
  • relation clients - outil de gestion en masse des courriers électroniques, de lettres d'information.

Les conditions requises pour être éligible au dispositif viennent d'être réaménagées.

Jusqu'à présent, étaient éligibles au dispositif les sociétés et entrepreneurs, ainsi que certaines associations, (résidents fiscaux français) remplissant les conditions suivantes :

  • ils employaient moins de 11 salariés, étant entendu que l'effectif salarié annuel de l'employeur correspond à la moyenne du nombre de personnes employées au cours de chacun des mois de l'année civile précédente ;
  • ils avaient débuté leur activité avant le 30 octobre 2020 ;
  • ils avaient fait l'objet d'une interdiction d'accueil du public à partir du 30 octobre 2020, cette condition ne s'appliquant pas aux personnes qui exercent leur activité principale dans le secteur des hôtels et hébergements similaires ;
  • ils étaient inscrits au registre du commerce et des sociétés (RCS), ou au répertoire des métiers ;
  • ils étaient à jour de leurs obligations à l'égard de l'administration fiscale et de l'organisme de recouvrement des cotisations patronales de sécurité sociale ;
  • ils n'avaient pas été déclarés en situation de liquidation judiciaire au jour de la demande d'aide ;
  • ils avaient un chiffre d'affaires (CA) annuel ou un total de bilan qui n'excède pas 2 M€ hors taxes ; pour les entreprises créées après le 30 octobre 2019 et n'ayant pas encore clos leur exercice comptable au 30 octobre 2020, le CA de référence se calculait par rapport au CA mensuel moyen sur la période comprise entre la date de création de l'entreprise et le 30 octobre 2020 ;
  • lorsqu'ils étaient constitués sous forme d'association, ils étaient assujettis aux impôts commerciaux (IS, TVA) ou ils employaient au moins 1 salarié.

Il est désormais précisé que les personnes éligibles à l'aide sont les sociétés et entrepreneurs, ainsi que certaines associations, (toujours résidents fiscaux français) qui exercent une activité économique.

Une condition d'octroi de l'aide est en outre ajoutée : il est, en effet, désormais requis que les entrepreneurs individuels ou les dirigeants majoritaires, s'il s'agit de sociétés, ne soient pas titulaires, depuis le 30 octobre 2020, d'un contrat de travail à temps complet, sauf si l'effectif salarié de l'entreprise est supérieur ou égal à 1.

Sont par ailleurs supprimées les conditions relatives à l'obligation :

  • d'avoir fait l'objet d'une interdiction d'accueil du public à compter du 30 octobre 2020 ;
  • et à celle d'être inscrite au RCS ou au répertoire des métiers.

Une dernière modification a enfin trait à la demande de l'aide.

Jusqu'à présent, il était prévu que pour bénéficier de l'aide, l'entreprise adresse sa demande d'aide à l'Agence de services et de paiement par l'intermédiaire d'un téléservice à compter du 28 janvier 2021 :

  • dans un délai de 4 mois pour les factures datées avant le 28 janvier 2021 ;
  • et dans un délai de 4 mois suivant la date de la facture pour les factures datées à compter du 28 janvier 2021.

Cette dernière situation est désormais aménagée : il est en effet prévu que la demande de l'entreprise soit envoyée avant le 31 juillet 2021 pour les factures datées à compter du 28 janvier 2021, étant entendu que la date de fermeture du guichet peut être avancée lorsque les demandes d'aide excèdent le budget alloué au versement de l'aide.

L'ensemble de ces dispositions entrent en vigueur le 10 mai 2021.

Source : Décret n° 2021-69 du 27 janvier 2021 relatif à l'aide exceptionnelle à la numérisation pour certaines entreprises employant moins de onze salariés qui n'ont pas pu accueillir le public en raison de l'urgence sanitaire, lors du deuxième confinement en novembre 2020

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07/05/2021

Activités et conseils : en plus de la tenue comptable…

Après plusieurs années d'attente, la norme professionnelle relative aux activités commerciales et actes d'intermédiaire réalisés par les experts-comptables vient enfin de paraître. Que contient-elle ?


Experts-comptables : des activités accessoires strictement encadrées

Pour rappel, l'activité d'expertise comptable est incompatible avec toute activité commerciale ou acte d'intermédiaire (autre que ceux que comporte l'exercice de la profession), sauf exceptions.

Ces activités sont possibles si elles sont réalisées à titre accessoire et si elles ne sont pas de nature à mettre en péril l'exercice de la profession ou l'indépendance des experts-comptables, ainsi que le respect des règles inhérentes à leur statut et à leur déontologie.

Une norme professionnelle, dont la publication était depuis longtemps attendue, vient de préciser l'application de ce principe en définissant :

  • une activité commerciale comme la commercialisation de biens ou de services ;
  • un acte d'intermédiaire comme celui consistant à présenter, proposer ou aider à conclure des contrats, à réaliser d'autres travaux préparatoires à leur conclusion ou à contribuer à leur gestion et à leur exécution.

La nouvelle norme précise que sont considérés comme « accessoires » les actes commerciaux et d'intermédiaire qui présentent un caractère connexe ou complémentaire aux activités autorisées aux experts-comptables, soit ceux qui constituent le prolongement de l'activité d'expertise-comptable, et qui sont destinés à répondre au besoin du client ou qui sont liés à une compétence professionnelle particulière de l'expert-comptable.

L'appréciation du caractère accessoire de ces actes doit s'effectuer au niveau de la structure d'exercice professionnel elle-même et en fonction d'un « faisceau d'indices », tels que le chiffre d'affaires ou les moyens consacrés à cette activité.

Dès lors, il est interdit à tout expert-comptable de pratiquer une activité d'agent d'affaires, qui consiste à s'occuper des affaires d'autrui à titre habituel.

La rémunération des actes commerciaux et d'intermédiaire doit par ailleurs être préalablement et expressément prévue au contrat, et constituer une rémunération spécifique et exclusive de toute autre par le client.

Il est par ailleurs obligatoire, pour le cabinet, de justifier d'un contrat d'assurance garantissant les conséquences de la responsabilité civile qu'il peut encourir en raison de l'ensemble de ses activités, dans lesquelles doivent être compris les actes commerciaux et d'intermédiaire réalisés à titre accessoire.

Avant d'accomplir de tels actes, la structure concernée doit également apprécier les risques d'atteinte à l'indépendance des professionnels de l'expertise-comptable en raison des intérêts ou des liens commerciaux établis avec le client ou un tiers.

L'ensemble des dispositions de la nouvelle norme professionnelle sont applicables :

  • à toutes les structures d'exercice professionnel d'expertise comptable ;
  • aux experts-comptables ;
  • aux salariés des centres de gestion agréés autorisés à exercer l'activité d'expertise comptable ;
  • ainsi qu'aux personnes autorisées à exercer partiellement cette activité.

Source : Arrêté du 12 mars 2021 portant agrément de la norme professionnelle relative aux activités commerciales et aux actes d'intermédiaire

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07/05/2021

Brexit : une nouvelle aide pour compenser l'arrêt temporaire d'activité !

Une aide pour compenser l'arrêt temporaire d'activité des pêcheurs professionnels impactés par la sortie du Royaume-Uni et de l'Irlande du Nord de l'Union européenne vient d'être mise en place. Quelles sont les conditions pour pouvoir en bénéficier ?


Aide à l'arrêt temporaire d'activité des navires de pêche : pourquoi, pour qui et comment ?

  • Pourquoi ?

L'accord de commerce et de coopération conclu avec le Royaume-Uni et l'Irlande du Nord à la suite de leur sortie de l'Union européenne n'est pas sans conséquences pour les navires de pêche français.

Pour les aider à faire face à la baisse d'activité qu'ils subissent dans le cadre de ce Brexit, le Gouvernement a mis en place une aide à l'arrêt temporaire d'activité de pêche professionnelle.

  • Pour qui ?

Cette aide peut être demandée par les armateurs d'un ou plusieurs navires de pêche professionnelle naviguant pour la France et subissant un arrêt temporaire de leur activité entre le 1er janvier 2021 et le 30 juin 2021.

Celle-ci n'est pas cumulable avec celle permettant la compensation des pertes de chiffre d'affaires versée au cours du 1er trimestre 2021. Les entreprises ayant bénéficié de ce dispositif peuvent toutefois faire une demande d'aide à l'arrêt temporaire d'activité de pêche professionnelle pour la période du 1er avril au 30 juin 2021.

De plus, les entreprises souhaitant l'obtenir ne pourront pas bénéficier du dispositif d'activité partielle pendant la période d'arrêt.

En outre, l'obtention de l'aide est soumise au respect de plusieurs conditions :

  • le navire concerné par la demande doit justifier d'une immatriculation en France et être inscrit au registre des navires de pêche de l'Union européenne à la date du dépôt de la demande ;
  • le demandeur doit être l'armateur du navire concerné et doit avoir mené des activités de pêche en mer pendant au moins 120 jours au cours des 2 dernières années précédant l'année de la date de la demande ;
  • le demandeur doit être à jour de ses obligations déclaratives, être en situation régulière vis à vis des administrations ou des organismes en charge des cotisations fiscales et des contributions sociales à la date du 31 décembre 2020 et être à jour dans le versement de ses contributions professionnelles obligatoires ;
  • le navire doit également être dans l'une des situations suivantes :
  • ○ son activité de pêche se déroule principalement dans les eaux britanniques ou dans les eaux situées autour de Jersey et Guernesey ;
  • ○ il n'a pu accéder aux eaux de la Norvège et des îles Féroé pour pêcher malgré une autorisation ;
  • ○ il n'est pas bénéficiaire d'une autorisation délivrée par les autorités britanniques sur la période du 1er janvier au 30 juin 2021 ;
  • ○ il est dépendant d'un ou plusieurs des stocks dont la liste est consultable ici.

Enfin, les armateurs ayant commis une infraction grave à certaines règles de la politique commune des pêches ou une fraude portant atteinte aux intérêts financiers des Communautés européennes ne peuvent pas en bénéficier.

  • Comment ?

Les armateurs qui souhaitent obtenir l'aide à l'arrêt temporaire d'activité de pêche professionnelle doivent déposer leur dossier auprès de la direction interrégionale de la mer du ressort du navire visé par la demande.

Le dossier doit notamment contenir le nombre de jours d'arrêt que le demandeur a subi depuis le 1er janvier 2021 jusqu'à la date de sa demande, ainsi que ceux qu'il envisage de réaliser.

Ce dépôt doit impérativement être fait avant le 19 juillet 2021 à 17h.

Notez que lorsqu'un armateur touche l'aide à l'arrêt temporaire d'activité de pêche professionnelle, il s'engage à respecter certaines règles, notamment l'obligation de laisser le navire amarré à quai, ainsi que l'interdiction d'exercer une activité de pêche pendant toute la période d'arrêt. De plus, les travaux d'entretien nécessitant une mise à sec du navire sont également interdits.

Le non-respect de ces obligations peut entrainer la suspension définitive de l'aide.

Source : Arrêté du 29 avril 2021 relatif à la mise en œuvre d'un arrêt temporaire aidé des activités de pêche dans le cadre du retrait du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord de l'Union européenne

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07/05/2021

DSN : attention au temps de travail de vos salariés !

La quotité de travail, correspondant au temps de travail des salariés, a une importance primordiale en matière de déclaration sociale nominative (DSN). Ayant constaté de nombreuses anomalies, l'Urssaf invite les employeurs à redoubler d'attention sur ce point…


Focus sur la quotité de travail en DSN

S'agissant de la déclaration sociale nominative (DSN), l'employeur doit déclarer le temps de travail contractuel de ses salariés via la quotité de travail.

La quotité de travail intervient dans plusieurs processus de recouvrement des cotisations sociales, ainsi que dans l'établissement de plusieurs droits sociaux, qu'il s'agisse :

  • du calcul des effectifs ;
  • du calcul de certaines exonérations, comme :
  • ○ la réduction générale étendue ;
  • ○ les taux réduits sur complément allocations familiales et maladie ;
  • ○ les allègements dont bénéficient les jeunes entreprises innovantes et les jeunes entreprises universitaires ;
  • ○ la Lodéom (exonération bénéficiant aux employeurs situés en Outre-mer) ;
  • ○ l'exonération des cotisations salariales pour les apprentis ;
  • ○ les exonérations zonées (BRR, ZRR...).

L'Urssaf invite les employeurs à porter une attention particulière sur la quotité de travail en DSN. En effet, chaque mois, de nombreuses erreurs sont constatées, portant le plus souvent sur la cohérence entre les modalités de l'exercice du temps de travail et sur les quotités de travail.

Les erreurs les plus fréquentes sont les suivantes :

  • la modalité de l'exercice du temps de travail indiqué est celle d'un temps plein, mais les quotités de travail renseignées indiquent un temps partiel ;
  • inversement, la modalité de l'exercice du temps de travail indiqué est celle d'un temps partiel, mais les quotités de travail indiquent un temps plein.

L'Urssaf précise que les employeurs peuvent corriger ces données au sein de la DSN suivante par le biais d'un bloc de changement et d'une modification de paramétrage.

Source : Urssaf.fr, Actualité du 29 avril 2021 : DSN - Quotité de travail

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